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dizaines de milliers de siècles, n’avait fait que
répondre
aux défis de la nature dont il vivait. Il s’agissait de survivre, et
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ant de choses dont ils n’ont rien à faire, qui ne
répondent
à nul désir en eux, même inconscient. Toutefois cet immense déchet s’
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teur en ondes est de droite ou de gauche. On leur
répondra
ce qu’ils voudront. Il n’y a qu’un parti au pouvoir, celui qui fait p
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hui répugne à la concevoir dans sa réalité : elle
répond
, en effet, à la définition de la croissance cancéreuse. Je ne suis pa
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entale, dont on ne peut plus guère douter qu’elle
réponde
à certaines volontés délibérées. En effet, le vice majeur du PNB ne r
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, et le double d’ici qu’on la construise… On leur
répond
que selon tous les calculs, l’électricité nucléaire se trouve d’ores
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ien connus de nos « régimes de liberté ». On leur
répond
qu’une centrale nucléaire produit moins de rayonnement que les cadran
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erait-il ? insistent d’éternels inquiets. On leur
répond
que « toutes les précautions ont été prises », et que les normes de s
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mortel ? — Qu’en savez-vous ? Avez-vous essayé ?
répond
un professeur français, expert du gouvernement, qui prétend pouvoir i
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portante société suisse productrice d’électricité
répond
fin 1972 que cette objection est facilement résolue : on envoie les d
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au pétrole… (Le Monde, 24 janvier 1975.) On ne «
répond
» donc pas aux besoins, on les suscite. L’argument de base du nucléai
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s du développement se poursuivent… il faudra pour
répondre
à la demande d’énergie d’une population quadruplée construire 3000 gr
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aler un compteur entre le soleil et nous, on nous
répondra
que ces technologies douces ne sont toujours pas au point, et on les
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entralisation, mais inverse de la dispersion. Que
répondent
à cela nos gouvernements ? Rien, pas un seul député ne les ayant jama
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officiel des promoteurs du nucléaire. Ceux-ci ne
répondent
à rien, ils réitèrent, leur souci n’étant pas de vérité mais de pouvo
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de ses forêts et de ses eaux ? », il ne peut nous
répondre
piteusement : « Suis-je le gardien de la Terre ? » sans qu’on en tire
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sont trop petits dans le domaine économique pour
répondre
au « défi américain » — cela n’a plus à être démontré — mais aussi po
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— cela n’a plus à être démontré — mais aussi pour
répondre
au défi du tiers-monde… Enfin, ils sont trop petits pour agir politiq
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potentats et dictateurs arabes, nos hommes d’État
répondaient
nerveusement : « Ne nous laissons pas égarer par les prophètes pessim
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? Au défi de la nature, nous n’avons pas encore
répondu
par une victoire totale, il s’en faut, mais les moyens de cette victo
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e, mère d’une civilisation imprévisible. 2. Nous
répondons
au défi des passions nationalistes et politiques par une organisation
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ue notre civilisation y succombe, soit que nous y
répondions
victorieusement par l’établissement d’un gouvernement mondial, libéra
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os passions nous imposaient, l’humanité ne pourra
répondre
que par une prise de position métaphysique. Elle pourra choisir l’ane
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ie actuelle vient de la guerre et y conduit. Elle
répond
aux défis de la « dernière », et en appelle d’autres, fût-ce à seule
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t les travaux encore inédits de Jay Forrester, je
répondais
ainsi à cette question : « Faut-il en désespoir de cause faire confia
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e que tu as vu ? qu’est-ce que tu as fait ? Il me
répond
: 300 kilomètres. Partir au hasard sur les routes, c’était donc cela
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e à ces fins. Elle n’a même pas été calculée pour
répondre
aux besoins pratiques, utilitaires, comme on le voit dans nos villes
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qu’on n’a pas réfuté. À la corruption intérieure
répond
l’humiliation extérieure. En suspendant l’ensemble de ses industries
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une crise du pétrole dans le Proche-Orient, Nixon
répondait
: « Le pétrole ne peut pas être une arme pour les Arabes, il ne vaut
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nt tous ensemble. » « Seul un prophète peut lui
répondre
» Dès avant la guerre de 1939, la majorité des humains savaient qu
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, les fascistes, les franquistes, les maoïstes, a
répondu
à la question centrale du siècle (qui est religieuse au sens élémenta
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et j’écrivais alors : « Seul un prophète peut lui
répondre
. » Nous l’attendons encore. Saurons-nous le reconnaître ? La perso
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e du peuple allemand. Aucun nationalisme n’eût pu
répondre
seul, ni aucun socialisme d’ailleurs, au projet national-socialiste q
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cléaire que les États « se réservent » d’exercer,
répond
déjà le terrorisme des groupes qui se disent politiques et des gangs,
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t-elles touchées ? Le seront-elles à temps ? — je
réponds
qu’il n’est pas question d’évaluer les chances de succès dans un jeu
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: qu’est-ce donc en l’homme, qui est aliéné ? Je
réponds
que c’est la personne, ce qui fait qu’il est lui et pas un autre : sa
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’il n’a de comptes à rendre à personne et ne doit
répondre
de rien. Althusius, c’est aussi la société fondée dans l’homme, contr
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-socialisme » À cet appel, dès qu’il s’entend,
répond
aussitôt dans l’esprit de la plupart de mes contemporains le mot hipp
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e du xxe siècle, tandis que les ordres religieux
répondaient
depuis deux-mille ans à des besoins d’une tout autre nature, et cela
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des communautés et l’incapacité où elles sont de
répondre
au problème global que nous posions, celui de la dégradation des lien
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la personne le milieu le plus créateur, elles ne
répondraient
pas encore à l’attente communautaire de l’Occident. Et cela tient aux
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au défi d’être trop serrés en espace clos ne peut
répondre
, avec une efficacité éprouvée par les siècles, que la discipline rigo
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t aussi le don d’une tradition). Rien non plus ne
répond
à leur choix personnel, ni le site, ni le cadre naturel, détruits, ni
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ne obéissance jurée de l’être entier ; mais elles
répondent
moins encore au besoin d’une identité qui s’achève et s’intègre dans
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ce, désormais, peut prévoir ? Les États consultés
répondent
que non, car ce serait faire courir un risque intolérable à l’économi
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upporter les effets de sa faillite. Ou encore, on
répond
aux savants qui dénoncent les dangers des centrales nucléaires qu’il
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léphoniques fusent. Maire et conseillers présents
répondent
de leur place consciencieusement à chacun. La balle rebondit du publi
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me l’ensemble de plusieurs syndicats de communes,
répondant
chacun aux nécessités d’un domaine spécifique — écoles, environnement
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e à l’idée que s’en faisait le siècle dernier. Je
réponds
aux savants que ma réaction de « laïc » aux agressions contre l’envir
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ntimental (voulant peut-être dire sensible ?), je
réponds
par un hémistiche de Racine, qui aurait de quoi les inquiéter : « Il
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ux ministres qui nous font le coup du chômage, je
réponds
que la lutte contre la pollution pourrait créer dès l’an prochain bie
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semble pendant les dix années qui viennent. Et je
réponds
aux progressistes à la mode d’hier que les centrales qu’ils défendent
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es processus d’établissement de l’autogestion, je
répondrais
que les leçons de créativité spontanée sont en général décevantes ; q
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écide ? Au nom de quoi ? Que veut-on dire ? On me
répond
qu’il s’agit de « découper » des régions qui soient assez grandes, as
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e syndicats (ou coopératives) de communes, chacun
répondant
à une fonction déterminée : écoles, environnement et urbanisme, trans
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? d) Vous tentez de dépolitiser le problème. Je
réponds
dans cet ordre fortuit. (Tout en notant que « la Jeunesse » est une e
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fait pas d’omelette sans casser des œufs, je leur
réponds
qu’il ne suffit pas de casser des œufs pour faire une bonne omelette.
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êchera… Et d’abord, par souci de précision, je
répondrai
à ces questions que je voudrais que le lecteur me pose pour s’assurer
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t faite198. Le jour où les ordinateurs consultés
répondront
que l’ensemble des liens concrets, le tissu des relations nouées entr
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le prendre en charge ? — Je ne serais pas tenu de
répondre
à ces questions, m’étant donné pour tâche de faire voir et sentir la
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mode de pollution ou de production d’énergie ? Je
répondrai
que les régions, la pollution, l’énergie nucléaire ont valeur symboli
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ntinelle, que dis-tu de la nuit ? La sentinelle a
répondu
: — Le matin vient, et la nuit aussi. Si vous voulez interroger, inte