1 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
1 t, les quelques députés bourgeois en redingote ne répondent que du bout des doigts, crainte, sans doute, de troubler l’équilibre
2 la majorité. Pourtant, vous les obligeriez à vous répondre que les nombres ont tort au regard de l’antiquité d’une civilisation 
3 hargne à cet artiste de la prodigalité. — « Ah ! répond -il, j’aimerais bien pouvoir vivre comme je vis ! » Voici les cigogne
2 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
4 mélange de hauteur, de méfiance et de gêne auquel répond chez l’inférieur un mélange de crainte, de colère et de gêne guère mo
5 sse justifie sa fonction dans le monde actuel, je répondrai que cela dépend après tout des possibilités qu’on lui en laisse. On,
3 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
6 omme chez lui. — Dormez-vous dans ce lit ? — Oh ! répond -il, je pourrais aussi bien habiter la chambre. Il ne vient pas tant d
4 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
7 dans le mystère des orées d’ombre ? » Et l’on me répondait  : « Ici, la jeune fille Aurore a surpris la licorne pure… » (Je croya
8 it que l’esprit et l’espace vivant, de nouveau se répondent , se conviennent et soient signes l’un de l’autre. Dans le bonheur de
9 et Swedenborg s’accorderaient, je le crois, pour répondre . L’homme est un point de vue central et médiateur entre les corps et
10 l semble que mon sang ce soir la comprenne et lui réponde sourdement. La nuit s’ouvre comme un jardin aux allées aventureuses.
11 uteur de la Rose de Thuringe, Pierre Girard. J’ai répondu  : « Je ne sais pas si vous avez connu ce contentement large de tout l
12 a misère de tous ces regards me paralyse. Comment répondre à leur hostilité, comment accueillir avec un cœur viril et bon le spe
5 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
13 it profonde, et chaque être présent questionnait, répondait . La force était au secret de nos vies, nouée parfois dans une rancune
14 ue. Ils me demanderont pourquoi, je ne saurai pas répondre . Sait-on jamais pourquoi l’on aime un être ? Voici longtemps qu’on a