1 rapport à cette érudition-là. Denis de Rougemont répondait ainsi par avance à la question que tous les étudiants ne peuvent pas

2 nature, même qualitative. Donc, la solution pour répondre à cet accroissement gigantesque des effectifs universitaires ne serai

3 utopie que de vouloir dépasser l’État-nation, je réponds que c’est au contraire la grande tâche politique de notre temps. a

4 ment diversifiée qu’est la culture européenne, je répondrais que la solution se trouve dans les termes mêmes du problème ainsi for

5 ralisme. Je ne vois pas d’autre forme d’union qui réponde à la double exigence du respect des diversités et de l’instauration d

6 temps, quand il n’était pas encore ministre — il répondait qu’il était contre des mesures de ce genre parce qu’elles tendaient «

7 -nation qui, par ailleurs, se révèle incapable de répondre aux exigences concrètes de notre temps, puisqu’il est à la fois trop

8 ont jamais été imaginées, il y en a une seule qui répond à ce que l’on attend, c’est la méthode fédéraliste. Puisque le fédéra

9 utopie que de vouloir dépasser l’État-nation, je réponds que c’est au contraire la grande tâche politique de notre temps, car

10 ccepte de coopérer que pour des raisons tactiques répondant à des vues strictement égoïstes). Au contraire, dans un schéma fédéra

11 besoins de l’économie » qu’il s’agit désormais de répondre (ils ne sont trop souvent que le profit des firmes et de leurs action

12 tre au rang des empires, aujourd’hui, l’URSS, qui répond exactement à la définition d’un empire, dont les deux traits principa

13 e le véritable ancêtre de l’État totalitaire ? Je réponds absolument non. Car Rousseau n’a pas cessé, dans tous ses ouvrages de

14 n même jacobine. Exemple de cette combinaison qui répond point par point, mais qui est l’inverse de la précédente : un homme c