1 out dans l’inconscience formidable que traduit la réponse de M. Durand-Dupont. M. Durand-Dupont est persuadé qu’il exprime une

2 « La jeunesse française devant l’Allemagne » [ Réponse à une enquête] (mai 1933)e En face de deux pays gouvernés par des

3 dive d’un nationalisme traître à la patrie. Notre réponse ne prendra pas la forme d’une justification, mais d’une accusation. A

4 der l’accession aux conflits nécessaires. e. « [ Réponse à l’enquête « La jeunesse française devant l’Allemagne »] », La Revue

5 blier sous le titre de Jeune Europe 6 apporte une réponse d’autant plus intéressante qu’elle est très significative du nouvel é

6 « Pour qui écrivez-vous ? » [ Réponse à une enquête] (janvier-février 1934)h J’écris à ceux qui ont des

7 ’écris pour ceux qui attendent courageusement une réponse . Ce n’est pas que je puisse donner cette réponse, loin de là. Je voud

8 réponse. Ce n’est pas que je puisse donner cette réponse , loin de là. Je voudrais seulement les aider à prendre au sérieux leu

9 ermet d’affirmer dans le domaine de César ? De la réponse à cette question dépendra notre évaluation des tentatives esquissées

10 ue vision et amour sont un seul acte et une seule réponse  : « Lumière du monde, vous m’avez éclairé. Je vous ai vue, je vous ai

11 — pour nous avoir révélé le salut ? Où trouver la réponse qui nous permettrait seule de poser sérieusement nos questions ? « Si

12 dit, dans sa revue, toute espèce de polémique, de réponses à ses contradicteurs, de critique littéraire ou d’analyses des « actu

13 mune, Paris, n° 21, mai 1935, p. 1059. Publiée en réponse à une recension de Politique de la personne parue dans la livraison