1 Europe fédérée, si l’on en croit Michel Debré. La réponse est gênante. Pour lui. La France des jacobins et de Napoléon est en e

2 fin janvier 1979 donne les résultats suivants en réponse à la question : « Dans la CEE, votre pays risque-t-il de perdre sa cu

3 me de la sacro-sainte souveraineté nationale ? La réponse a été donnée dès 1945 dans un volume intitulé Demain la paix 27 par u

4 à la RTF, devant tout le peuple français : Votre réponse va engager le destin de la France, parce que, si je suis désavoué… su

5 enté, Nord réformé, Sud catholique et orthodoxe ? Réponse de Mme de Staël : Le protestantisme et le catholicisme ne viennent p

6 otocopie de l’article. Il s’agit de deux pages de réponse à une enquête sur la jeunesse française et la guerre. Voici le passag

7 es étatiques — et souvent même à travers elles ? Réponse  : — Cet empêchement majeur, inlassablement invoqué par les adversaire

8 , et d’autant plus qu’il en alla de même pour les réponses venues de l’autre côté, et je crois que cela est tout à fait importan

9 ue, lors de ce débat, de l’exposé de Nivat et des réponses que nos deux délégués soviétiques ont faites, nous avons touché peut-

10 ugés. Prend place alors — pour être dit après la réponse du président de l’Assemblée — le texte d’un serment de plus : ce sera

11 la région est désormais en mesure d’apporter des réponses concrètes aux vœux émis comme dans le vide des intentions idéalistes

12 ule question qui demeure ouverte et qui exige une réponse immédiate est de savoir si nous allons enfin prendre conscience d’un

13 , qui avait la même adresse que l’Université, une réponse immédiate du directeur (sans doute croyait-il que j’étais un jeune pr