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ucation, comme en Russie). Ensuite il a donné une
réponse
à l’exigence religieuse des peuples, déçue par les Églises chrétienne
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triomphé parce qu’il fut le premier à donner une
réponse
très grossière, mais enfin une réponse, à l’appel religieux du peuple
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donner une réponse très grossière, mais enfin une
réponse
, à l’appel religieux du peuple. C’est parce que les fascistes avaient
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ois le scepticisme n’est pas toujours, hélas, une
réponse
suffisante. La seule réponse décisive à cette immense question religi
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toujours, hélas, une réponse suffisante. La seule
réponse
décisive à cette immense question religieuse des peuples, d’où sont i
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issus les trois mouvements totalitaires, c’est la
réponse
vraiment totale de notre foi. La foi chrétienne, pour les mystiques i
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d’abord, que nous pourrons prétendre apporter une
réponse
qui satisfasse aux vrais besoins du citoyen ou du soldat, ou de l’ouv
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ure de l’angoisse des foules, pour lui donner une
réponse
à la fois frappante et concrète. « Tout est en désordre ? ont-ils dit
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ns : tôt ou tard, là aussi, cet appel exigera une
réponse
. Reste à savoir si nous saurons la lui donner, si nous saurons utilis
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ommune de l’Europe ? II Avant tout essai de
réponse
, on fera bien de se demander d’abord : Quels sont, en somme, les vrai
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on d’un plan de défense unifié. Vous le voyez, la
réponse
que j’essaie de trouver n’est pas simple. Si l’effort militaire consi
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araîtront, au cours des prochains fascicules, les
réponses
reçues. Voici le questionnaire. Il est suivi d’une première réponse d
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ici le questionnaire. Il est suivi d’une première
réponse
de M. Denis de Rougemont aux questions IV et V : […] — Quelle attitud
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n° 2, mars-avril 1951, p. 117-118. À propos de la
réponse
de David Lasserre publiée comme réponse à l’enquête des Cahiers sur «
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pos de la réponse de David Lasserre publiée comme
réponse
à l’enquête des Cahiers sur « La Suisse et l’Europe ». i. Voir la pr
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fiées et mises à jour, toute question trouvant sa
réponse
quasi instantanée par la consultation d’un ordinateur, les recours ul
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ure. Une question et une seule demeure alors sans
réponse
: la question du sens de ma vie sur cette terre et après ma mort ; la
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ma relation à la transcendance. Elle demeure sans
réponse
, non point par accident, mais par nécessité de méthode. Car la grande
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toujours et encore une question au-delà de toute
réponse
et de toute permission d’interroger. Ce droit de demander que ma vie
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sens, même si je ne trouve ou ne reçois jamais de
réponse
certaine, cette demande, cette recherche en elle-même est mon sens pr
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vre — mais j’aimerais indiquer aussi l’esprit des
réponses
que l’on pourrait tenter d’y faire. La dichotomie proposée entre les
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t à poser des questions qu’à tenter d’imposer des
réponses
; à poser avant tout, en temps et hors de temps, la Question, celle d