1 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
1 ction ? Doit-il avoir un lieu particulier ? De la réponse à ces questions dépendront l’existence et l’emplacement du Palais de
2 manifester, comment le hisser sur le pavois ? La réponse est simple. L’esprit s’exprime par l’écrit et la parole. Un sanctuair
3 que fameuse : « La vérité est peut-être triste. » Réponse qui n’est encore qu’une question déguisée. Le soupçon de Renan trahit
4 ais l’homme ne répond plus : il est la vérité, la réponse en chair et en os. Il faudrait se « boucher les yeux… » Cet homme est
2 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
5 ion ne peut être sérieuse que si l’on sait que la réponse existe… Il fallait nous apprendre cet embrassement, cette saisie des
3 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
6 outes les œuvres spirituelles et matérielles ? La réponse me paraît évidente. Tous les témoignages que nous possédons sur l’éta
7 des deux Europes se ramène à l’opposition de deux réponses différentes à l’appel jailli de la crise, vers une communauté nouvell
8 uvelle. Là où cette crise était la plus aiguë, la réponse , qui devait être totale, n’a été que « totalitaire ». Là où depuis ce
9 it déjà, la crise est bien moins virulente, et la réponse a plus de peine à se dégager. Pourtant, il faudra bien qu’elle soit d
10 communistes et nationalistes.   4. Les premières réponses . C’est pour avoir deviné cet appel et pressenti l’ampleur de l’angois
11 é. Tout jugement politique ou idéologique sur les réponses qu’ils ont tenté de donner — classe ou nation — reste superficiel et
12 t combler l’attente réelle. Elles ne sont pas une réponse nécessaire. Elles ne sont qu’une tentation superficielle et passagère
4 1936, Esprit, articles (1932–1962). Note sur nos notes (novembre 1936)
13 luencé, etc., tout cela n’importe qu’à partir des réponses que l’on donne au problème éternel : où sommes-nous, d’où venons-nous
5 1937, Esprit, articles (1932–1962). Brève introduction à quelques témoignages littéraires (septembre 1937)
14 un et l’autre cas, et pour les mêmes raisons, les réponses varient du tout au nul. C’est dire qu’une réflexion patiente — mais u
6 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
15 enir, et puis vous vous apercevez que ce sont vos réponses elles-mêmes, celles que déjà vous étiez prêt à lui donner, qui se tro
7 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
16 les de grande envergure nous indiquent un type de réponse , une solution peut-être inévitable. La Russie de la Révolution connut
8 1938, Esprit, articles (1932–1962). Revue des revues (septembre 1938)
17 haut ; mon tout est peut-être un attrape-nigaud. Réponse  : matérialisme dialectique. (Juin). — La Duchesse de Friedland, nouve
9 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
18 la Chine, y eût produit les mêmes effets. Mais la réponse n’importe pas ici : il nous suffit de marquer que les éléments occide
19 lais entre la question qu’elles nous posent et la réponse de notre vie.) ⁂ Le second thème que j’esquisserai n’est peut-être pa
20 un dialogue vrai. Alors l’angoisse comblée par la réponse , la nostalgie comblée par la présence cessent d’appeler un bonheur se
10 1938, Esprit, articles (1932–1962). Suite à « La passion contre le mariage » (décembre 1938)
21 x qui se sont attaqués à la fausse passion) et la réponse de Rougemont. La voici : Au sujet de la lettre du R. P. Lavaud — je n
11 1939, Esprit, articles (1932–1962). Autour de L’Amour et l’Occident (septembre 1939)
22 nder pourquoi vous y tenez tant. Je crois voir la réponse dans votre conclusion. Et force m’est alors de reconnaître qu’à l’ori
23 o d’Esprit par la fin, comme tout le monde. Cette réponse écrite, j’ai lu votre « Tristesse de l’historien ». (Mounier et Nikla
24 structive… Je me garderai donc de retoucher cette réponse . Mais pour conclure, je vous citerai en confidence deux phrases d’une
12 1946, Esprit, articles (1932–1962). « Un divorce entre le christianisme et le monde ? » (août-septembre 1946)
25 s choses ont l’air de bien marcher. Voilà pour ma réponse . Mais c’est l’enquête elle-même qu’il faut mettre en question. On n’i
13 1962, Esprit, articles (1932–1962). Lettre à Jean-Marie Domenach, à propos de « Sartre et l’Europe » (mai 1962)
26 it de la faire. » C’était cela, l’essentiel de ma réponse à Sartre, et non ces « additions d’automobiles et de pommes de terre