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lequel des deux a commencé ? Tenons-nous-en à la
réponse
, toute goethéenne en son humour, de l’essayiste Rudolf Kassner1 : « J
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le cas de la plupart. En vérité, la bassesse des
réponses
— ni la duperie qu’elles figurent souvent — ne doit pas faire douter
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pouvons pourtant pas être tous des martyrs ! » —
Réponse
de Kierkegaard : « Ne vaudrait-il pas mieux que chacun dise pour soi-
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i vous voulez interroger, interrogez ! », mais la
réponse
est : « Convertissez-vous ! » À la lumière jaillie de l’acte de la fo
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e violence ne peut dérober, mais c’est une triste
réponse
à la révolte de ces pauvres qu’on redoute plus qu’on ne les aime… Si
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ensable, l’Incarnation historique de Dieu. Pas de
réponse
rationnelle au « Cur Deus Homo ? » de saint Anselme. 38. Crainte et
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ion ne peut être sérieuse que si l’on sait que la
réponse
existe. Il fallait nous apprendre cet embrassement, cette saisie des
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rant, mais beaucoup de questions y demeurent sans
réponse
, et des faims ancestrales sans pâture. D’où renaît peu à peu une ango
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e les cartes ? » Déjà E. T. A. Hoffman insinue la
réponse
: « Et si un principe spirituel, étranger à nous-mêmes, était le mobi
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de la plupart des romantiques fournit ici la même
réponse
. En effet, la blessure dont ils souffrent est presque toujours symbol