1 1944, Les Personnes du drame. Introduction
1 lequel des deux a commencé ? Tenons-nous-en à la réponse , toute goethéenne en son humour, de l’essayiste Rudolf Kassner1 : « J
2 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
2 le cas de la plupart. En vérité, la bassesse des réponses — ni la duperie qu’elles figurent souvent — ne doit pas faire douter
3 pouvons pourtant pas être tous des martyrs ! » —  Réponse de Kierkegaard : « Ne vaudrait-il pas mieux que chacun dise pour soi-
4 i vous voulez interroger, interrogez ! », mais la réponse est : « Convertissez-vous ! » À la lumière jaillie de l’acte de la fo
5 e violence ne peut dérober, mais c’est une triste réponse à la révolte de ces pauvres qu’on redoute plus qu’on ne les aime… Si
6 ensable, l’Incarnation historique de Dieu. Pas de réponse rationnelle au « Cur Deus Homo ? » de saint Anselme. 38. Crainte et
3 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
7 ion ne peut être sérieuse que si l’on sait que la réponse existe. Il fallait nous apprendre cet embrassement, cette saisie des
4 1944, Les Personnes du drame. Une maladie de la personne — Le romantisme allemand
8 rant, mais beaucoup de questions y demeurent sans réponse , et des faims ancestrales sans pâture. D’où renaît peu à peu une ango
9 e les cartes ? » Déjà E. T. A. Hoffman insinue la réponse  : « Et si un principe spirituel, étranger à nous-mêmes, était le mobi
10 de la plupart des romantiques fournit ici la même réponse . En effet, la blessure dont ils souffrent est presque toujours symbol