1
t bien convaincus que l’Europe unie ne peut avoir
réponse
à tout, mais que les souverainetés nationales ne peuvent plus avoir r
2
es souverainetés nationales ne peuvent plus avoir
réponse
à rien. Nous allons chercher quelques-unes des principales implicatio
3
nt de cap. 2.La crise Les questions sans
réponse
se multiplient Vue dans une perspective mondiale, l’Europe n’a pas
4
omiques de dissuasion » britannique et française.
Réponse
de la majorité des auteurs et critiques militaires : l’arme atomique
5
les au sens étymologique du mot : « incapables de
réponse
». Ceux qui ont entrepris de créer l’Europe unie pensent que le modèl
6
enir les mêmes dangers et sont en quête des mêmes
réponses
créatrices. Il n’existe en réalité aucune raison pour qu’une Europe é
7
a veulent, s’ils ont compris qu’elle est la seule
réponse
encore possible à des problèmes de survie, qui ne sont pas seulement
8
téressent pas du tout reste la même : 26 %. (Sans
réponse
: 4 %.) Intérêt pour l’élection du Parlement européen De 1973 à
9
contre l’élection, on passe de 23 à 11 % ; — sans
réponse
, on passe de 23 à 19 %. Identité :rester soi-même Dans la CEE,