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, si l’on observe que l’exploitation forcenée des
réserves
naturelles de mercure et de pétrole, par exemple, se traduit par une
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Les unes s’en tiennent dans leurs estimations aux
réserves
connues et d’une teneur « rentable » en fonction des techniques actue
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au rythme actuel de croissance des besoins », les
réserves
de tout sont condamnées à terme. « Changer de rythme » est la seule s
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s déclare (mais sans publier son dossier) que les
réserves
existantes de pétrole et de charbon permettraient de satisfaire penda
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urs d’écoles diverses je lis, d’une part, que les
réserves
de pétrole seront épuisées dans vingt ans et, d’autre part, « qu’elle