1 8. (André Fontaine, Le Monde, au lendemain de la révolution hongroise.) Cinquante ans d’analyses pessimistes de notre société et

2 nt le prestige de l’Europe et sa puissance, trois révolutions portant au pouvoir des tyrannies totalitaires qui revendiquaient les

3 nt ou cyniquement, au nom de la réaction ou de la révolution , ils ne nous parlaient plus que d’une Crise de l’Esprit, d’une Décade

4 meutes de Poznań, la résistance de Varsovie et la révolution de Budapest ont renversé le cours de cette immense dérive et restauré

5 l vraiment suffi d’un « dégel » temporaire, d’une révolution écrasée, d’une révolte larvée de la jeunesse russe elle-même, pour br

6 uperflu et sans objet le moment dialectique de la révolution donnant le pouvoir aux ouvriers d’usine. C’est ainsi le développement

7 ulture, l’éducation et les loisirs de la nouvelle révolution technique que symbolise le terme d’automation. En outre, le CEC élabo

8 ans la bourgeoisie, et provoquèrent de nombreuses révolutions cantonales, visant et aboutissant souvent à déposséder le patriciat d

9 nvient de souligner qu’en retour, l’imminence des révolutions de 1848 fut un facteur important du succès des radicaux suisses : ell

10 if (17 février-17 novembre 1848) Tandis que la révolution éclatait successivement dans les diverses capitales européennes, tout

11 au Moyen Âge ; elle représente le résultat d’une révolution générale qui a été vaincue partout ailleurs »26. De même, la guerre d

12 s de leurs buts. Jamais l’Europe, qui crée par la révolution industrielle les moyens d’unifier l’humanité, et qui, en attendant, a

13 itique des partis socialistes, et encore moins la révolution des communistes qui ont créé les moyens concrets de libérer le prolét