1 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le dialogue Europe-Amérique (juin-juillet 1952)
1 e les meilleurs Européens, voués aux perpétuelles révolutions de la pensée, et les meilleurs Américains, techniciens idéalistes de
2 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Éducation européenne (octobre-novembre 1954)
2 éfléchi sur la nature des forces historiques. Une révolution est l’aboutissement d’une série d’actions d’abord morales, intellectu
3 squelles rien ne se ferait. L’Europe unie est une révolution . Elle doit passer par tous les stades préparatoires des révolutions r
4 doit passer par tous les stades préparatoires des révolutions réussies. L’ambition du Centre est d’agir. Il a pris au sérieux l’act
3 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le rôle de la recherche en Europe (décembre 1954-janvier 1955)
5 n, d’une inquiétude créatrice de désordres, et de révolutions bien sûr, mais créatrice aussi de liberté, — donc créatrice tout cour
4 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
6 lle sa réforme ne fut autre chose que la première révolution , dans le plein sens du mot, que connut l’Europe »14). Pierre, âgé de
7 illant en Russie. La nouvelle culture née de la révolution pétrovienne n’avait été au début qu’un amas hétéroclite d’articles d’
8 l’ensemble de la vie russe. Une des sources de la révolution est là ; car celle-ci est une révolte déguisée, non pas contre l’Occi
9 t Gogol à nos jours, est tout entière issue de la révolution spirituelle déclenchée par le romantisme ; elle y a pris part, elle l
10 t à certains réactionnaires17. Intelligentsia, révolution , censure Qu’est-ce que cette intelligentsia — terme latin russifié
11 idées sans exception (Weidlé) dont se nourrira la révolution russe. Mais elle les transformera en les assimilant. Elle les purifie
12 avait été si puissant qu’on l’imita même après la révolution , comme en témoigne la série Littérature universelle patronnée par Gor
13 iétiques. Ceux-ci sont payés pour savoir que leur révolution est venue de l’étranger, de l’Europe de l’Ouest, avec Lénine. D’où le
5 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Relance européenne ? (février 1956)
14 peu à peu imbriqués, mais d’un seul coup, par une révolution d’ordre essentiellement politique. Ses partisans demandent l’élection
6 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). François Fontaine, La nation frein (juin-juillet 1956)
15 vivre à l’âge de l’Europe. Mais cela suppose une révolution  : l’Europe ne se fera pas d’elle-même, comme le dit « la berceuse con
7 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). L’Europe s’inscrit dans les faits [Introduction] (novembre 1956)
16 ous avons entendu l’appel suprême de la plus pure révolution de l’Histoire : le dimanche 4 novembre, sous le feu des canons russes
8 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La Suisse et l’Europe après 1945 (avril 1957)
17 e Portugal) ont été dévastés par la guerre et les révolutions , la Suisse se retrouve en 1945 moralement et physiquement intacte, et
9 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le rôle des festivals dans la vie culturelle de l’Europe [Commentaires] (mai 1957)
18 tomatisation que certains nomment déjà la seconde révolution industrielle, et qui promet des loisirs plus étendus à un nombre croi
10 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La méthode culturelle, ou l’Europe par l’éducation des Européens (mai 1958)
19 la défense de l’Europe et de notre survie. Cette révolution dans la conscience bourgeoise est commencée. Maintenant il faut souff
11 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Guide européen de l’enseignement civique [introduction] (1960-1961)
20 endance mondiale, la coopération pour la paix, la révolution scientifique, la poussée démographique, les conflits de valeurs et de
12 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
21 son indépendance, et ne cessait de provoquer des révolutions locales, grèves, meurtres et sauvages intrigues politiques. On compre
13 1963, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pour une métropole régionale Aix-Marseille-Étang de Berre [Avant-propos] (juillet 1963)
22 connues, de ce que l’on a si justement nommé « la révolution régionale ». ⁂ On ne saurait reprocher à un colloque dont les ambitio
14 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Civisme et culture (notamment artistique) (mai 1967)
23 i, Monteverdi, les Flamands. Ainsi, de rupture en révolution , l’art occidental renoue et enrichit sa tradition, la redécouvre avec
24 et l’action simultanées de la tradition et de la révolution , se nourrissant, se fécondant l’une l’autre. Et l’historien peut en d
15 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vingt langues, une littérature (mai 1967)
25 donne sens et relief aux inventions, innovations, révolutions fomentées par un groupe, une école, un « génie ». Les fédéralistes eu
16 1968, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vers une fédération des régions (hiver 1967-1968)
26 de ses provinces rajeunies ? Je reviendrai sur la révolution que préparent ses universités et deux de ses partis de gauche et de d
27 et culturelle que les bureaux de la capitale, la révolution régionale sera faite. Et du même coup la fédération de l’Europe se ré
28 régionales, voilà qui nous donne à penser que la révolution régionaliste, condition de l’Europe unie, est bien plus avancée que n
29 cement s’opèrent dans les esprits d’abord, par la révolution la plus difficile à accomplir, celle des catégories de pensée dans le
17 1969, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La région n’est pas un mini-État-nation (hiver 1969-1970)
30 n du projet au succès : c’est l’acte créateur, ou révolution , procédant d’une vision claire et d’une volonté sincère de réalisatio
31 ructure du pouvoir. Elle ne représenterait aucune révolution , au sens où j’ai toujours entendu ce terme, qui ne signifie pas « tou
18 1971, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Dépolitiser la politique (printemps 1971)
32 e, ni la participation civique, par suite, aucune révolution réelle ne sont imaginables. Tant qu’on laissera nos États-nations aff
33 faire la guerre ! Aujourd’hui, il faut faire une révolution si l’on veut « faire l’Europe, non la guerre ». Il faut défaire et dé
34 la vie continue, mais ce ne sera qu’au prix d’une révolution dont la gauche comme la droite feront les frais.   c) « Garder le con
35 ur ce point : la classe ou plutôt le parti que la révolution met en mesure de manipuler les mécanismes de production économique, o
36 long terme, qui ne s’accordent pas avec l’idée de révolution violente. Dans un sens beaucoup moins romantique, non violent, non in
37 non violent, non instantané, il est clair que la révolution qu’implique et que représentera au total   l’union de l’Europe sera c
38 ns, et nous voici ramenés au concept clé de toute révolution digne aujourd’hui de ce nom.   g) Personne, communauté, et leur lien
39 rsonne, communauté, et leur lien politique. « Une révolution sociale… possède un caractère d’universalité, parce qu’elle part du p
40 ffort ultime auxquels pourra jamais prétendre une révolution humaine. » D. de Rougemont, Penser avec les mains, 1933-1936. « La r
41 ougemont, Penser avec les mains, 1933-1936. « La révolution que j’appelle, qui fera seule l’Europe, et qui ne peut être faite que
19 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Stratégie de l’Europe des régions (printemps 1974)
42 et les oblige à s’évader dans la drogue, dans la révolution verbale des minorités vociférantes, ou dans l’imbécilité civique des
43 pe unie s’instaurant en dix ou quinze ans par une révolution non violente peut paraître frustrante à toute une partie de la jeunes
44 a jeunesse activiste. Je lui répondrai ceci : les révolutions violentes n’ont jamais abouti en Europe à autre chose qu’à une tyrann
45 ccrue. La Terreur jacobine aboutit à Napoléon. La révolution d’Octobre aboutit à Staline. À ceux qui me répètent : « On ne fait pa
20 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Rôle de la modernité dans les relations Europe-Monde (hiver 1975-1976)
46 frontation de ces cultures. III. Le concept de révolution Mais s’il est vrai que toute culture vient d’une religion et la pr
47 er quart du xiie siècle. On peut voir dans cette révolution du sentiment la dernière phase du mouvement vers l’Europe, le dernier
48 ’en fait-elle ? La Chine a pris d’abord l’idée de révolution , qui est bien l’idée la plus contraire à sa tradition millénaire d’éq
49 u toute faite, « clé en main », la doctrine de la révolution issue de la société industrielle du xixe siècle européen : le marxis
50 d’orientations, constitue sa modernité. L’idée de révolution se manifeste par la volonté de rompre avec la tradition la plus indis
51 rtie de Das Kapital. Karl Marx avait prévu que sa révolution se produirait dans les pays industriels. Or la Chine est une grande p
52 cette exigence de rejoindre les conditions d’une révolution marxiste que Mao appellera révolution. Il parlera d’abord de « bond e
53 tions d’une révolution marxiste que Mao appellera révolution . Il parlera d’abord de « bond en avant » (marquant ainsi sa volonté d
54 us d’évolution harmonieuse). Puis il parlera de «  révolution culturelle », marquant ainsi que la modernité ne saurait se développe
55 l y aurait lieu de renouveler périodiquement la «  révolution culturelle », et cela s’explique aisément. Car cette « révolution » e
56 relle », et cela s’explique aisément. Car cette «  révolution  » est en réalité, la modernité décrétée. Le chemin de la paysannerie