1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Breton, Manifeste du surréalisme (juin 1925)
1 es où il expose directement les principes de sa «  révolution  » semblent au contraire tirés de quelque terne manuel de philosophie
2 oupe tel que Philosophies laissent pressentir des révolutions plus réelles. On souhaite qu’après faillite faite, les surréalistes t
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Simone Téry, L’Île des bardes (décembre 1925)
3 de leur personne. Effet, puisque l’héroïsme d’une révolution en faveur du passé, révolution tout de même, ne pouvait produire qu’u
4 e l’héroïsme d’une révolution en faveur du passé, révolution tout de même, ne pouvait produire qu’une littérature très neuve de fo
3 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hugh Walpole, La Cité secrète (décembre 1925)
5 résultante de millions de petits. Voici naître la révolution dans un cœur, puis dans une famille. Et une fois le grand bouleversem
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
6 ient d’oubli — (mais avant de s’y perdre, quelles révolutions , quelles anarchies, quels Niagaras 9 !) Quelques jeunes hommes l’ont
5 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Le Corbusier, Urbanisme (juin 1926)
7 ce serait peut-être tuer au soleil des germes de révolution . Déjà des ingénieurs se sont mis à calculer la réalisation de ce phén
6 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Malraux, Les Conquérants (décembre 1928)
8 s Conquérants (décembre 1928)au Ce récit de la révolution cantonaise en 1925 nous place au nœud du monde moderne : on y voit s’
9 du drame, l’aspect quotidien et mystérieux d’une révolution de rues, ou la palpitation inquiétante des villes chinoises, Malraux
7 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Le Prince menteur (décembre 1928)
10 me à raconter certaines scènes terrifiantes de la révolution  : il a été condamné à mort, il s’est évadé, on le traque à Paris même