1 ité, les premières lignes de force d’une nouvelle révolution française. Leur anticapitalisme n’est pas celui de la Troisième Inter

2 ient plus de berger, aux éclairs de chaleur d’une révolution encore lointaine, ils se sont jetés dans le premier parc venu, à gauc

3 s étendue d’un Hongrois rescapé in extremis de la révolution de 1956, qui a fait ses études en Suisse et professé dans une grande

4 ns aujourd’hui : culturelles au sens large. Cette révolution dans la conception et l’approche du phénomène européen s’explique à l

5 à l’Europe le rôle « d’agent et de théâtre de la révolution sociale la plus complète » du genre humain, ou encore de « lieu essen

6 fascisme sont aussi des fascistes au rabais. Les révolutions triomphantes sont aussi et d’abord des “révolutions avortées”58) ».

7 volutions triomphantes sont aussi et d’abord des “ révolutions avortées”58) ». Reportons-nous aux pages citées dans mon livre. Quel

8 et de ses fins les plus lointaines°. — les mots «  révolutions avortées » qu’il cite ne figurent pas dans mon livre. Et enfin une re

9 à Esprit qu’à L’Ordre nouveau , d’opposer aux révolutions fasciste, nazie et communiste, une révolution de la liberté dont la F

10 ux révolutions fasciste, nazie et communiste, une révolution de la liberté dont la France serait responsable pour le monde entier.

11 (qui, reconnaissent-ils, suppose « une véritable révolution des mentalités ») acceptant « le concept d’une Europe fédérale ». Pou

12 Dante sera le témoin consterné de cette profonde révolution païenne. Dans son traité De Monarchia, qui date de 1308, il s’écrie :

13 Russie, non seulement au Moyen Âge, mais après la révolution d’Octobre, où beaucoup de traits sont proprement byzantins. Dans l’Em

14 umanistes laïques » issues de l’Aufklärung, de la révolution jacobine, et surtout de Karl Marx, ont toutes fait et font encore pre

15 homme. Voilà la base de ce que je peux appeler la révolution personnaliste, à laquelle j’ai consacré non seulement beaucoup de liv