1 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
1 rs 1933)d Si le christianisme primitif est une révolution — et la plus profonde de toute l’histoire —, le protestantisme se doi
2 s efforts d’un Eugen Rosenstock — l’historien des Révolutions européennes — dans le domaine du service civil et des camps de travai
2 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
3 jugement permanent et destructeur ; tandis que la révolution dans ce qu’elle a de nécessairement constructif, reste le lieu d’obéi
3 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
4 ’introduira jamais dans ses effets (à moins d’une révolution ). Mais il y a plus. Tout travail qu’on limite à la nécessité d’assure
5 le corps qui les subit. L’acte ordonnateur, ou révolution La tâche restauratrice de l’esprit, dévolue à notre génération, ap
4 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
6 là qui est banal ? Je n’en suis pas fâché. Aucune révolution n’a jamais inventé de vertu réellement nouvelle. Mais toute révolutio
7 inventé de vertu réellement nouvelle. Mais toute révolution est d’abord un rappel à certaines vertus négligées. Une nouvelle insi
8 n conformisme nouveau (AEAR). Tout de même qu’une révolution mal fondée en doctrine, ou qui trahit ses buts humains finaux, abouti
5 1934, Esprit, articles (1932–1962). André Breton, Point du jour (décembre 1934)
9 bre 1934)i Le surréalisme s’est présenté comme révolution , et comme tel il a bénéficié pendant plusieurs années, auprès de la c
10 onfusions commises depuis la guerre sur le mot de révolution . Le public littéraire rendit un très mauvais service aux écrivains su
6 1935, Esprit, articles (1932–1962). Kasimir Edschmid, Destin allemand (mai 1935)
11 e fut le sort de Röhm, entre autres.) Mêlés à des révolutions , disloqués, emprisonnés, blessés, malades, ces hommes découvrent peu
7 1935, Esprit, articles (1932–1962). Tristan Tzara, Grains et Issues (juin 1935)
12 g disait un jour qu’il considérait à cet égard la révolution hitlérienne comme un phénomène incomparablement plus important que l’
13 ablissement brutal de l’étatisme en Russie, nommé révolution bolcheviste. On comprend mieux la portée de ce propos après avoir lu
8 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
14 ure. Ne serait-ce pas inaugurer officiellement la révolution véritable ? Faudrait-il compter sur l’État pour prendre cette initiat
15 herche le but et les conditions de la société. La révolution de l’avenir sera le triomphe de la morale sur la politique » (L’Aveni
9 1936, Esprit, articles (1932–1962). Francfort, 16 mars 1936 (avril 1936)
16 nces de leur faire comprendre ce que c’est qu’une révolution de masses, au sens moderne. Et que ça n’a pas le moindre rapport avec
10 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
17 lectuels bourgeois qui sympathisent avec la jeune révolution . Angoissés par la crise occidentale et l’isolement où ils se voient ;
18 les mythes du Progrès indéfini et du Bonheur : la révolution russe a eu ce résultat au moins curieux de rendre à certains clercs b
19 on politique ; on reconnut alors peu à peu que la révolution est au fond l’œuvre d’une minorité, que le gouvernement du prolétaria
20 utionnaire, si toutefois l’on refuse de confondre révolution et stupidité crasse. Or le danger de cette assimilation n’est pas nia
21 u danger. La littérature soviétique est née de la révolution . Elle s’est constituée en même temps que son public. Autrement dit, l
22 Est-ce que tout le progrès acquis par une si dure révolution n’aura été que de donner aux hommes, avec quelques milliers de tracte
23 en serez bientôt au point où nous étions quand la révolution a éclaté. Si au contraire vous essayez de surmonter votre anarchie, v
24 te, pour calculer et préparer spirituellement une révolution qui soit nôtre, sans brutalités extérieures, sans destructions aveugl
25 rement dit, nous avons à créer un nouveau type de révolution , dont l’exemple vous sera certainement plus utile que les critiques d
26 celles qui ont fait ou subi depuis la guerre une révolution de masses. Elles mènent une vie dure et s’en disent fières. Certes, e
27 a jeunesse bourgeoise hésite à s’engager dans une révolution spirituelle dont elle redoute l’impuissance pratique à l’heure où il
28 uation cosmique nouvelle est la vraie cause de la révolution mondiale, de l’appel qui surgit de l’inconscient des peuples vers une
29 ions de cette puissance communautaire ont été les révolutions communistes et nationalistes.   4. Les premières réponses. C’est pour
30 notre commune mesure originale, à la faveur d’une révolution qui nous apporte au moins l’équivalent des dynamismes nationaux. Nous
31 les doctrines provisoires ou les tactiques de ces révolutions , mêlons-nous à leurs masses déifiées, distinguons leurs raisons profo
32 les peuples impériaux est là. L’avenir dira si la révolution des « libéraux » peut influencer, à force égale, les révolutions reli
33 « libéraux » peut influencer, à force égale, les révolutions religieuses qui dressent leurs monuments sacrés à l’Est. Pour le prés
11 1936, Esprit, articles (1932–1962). Note sur nos notes (novembre 1936)
34 . Toutes les grandes littératures sont nées d’une révolution , non d’une émeute dans les lettres. Pour qu’une école se crée, il fau
35 suppose le développement sur tous les plans de la révolution personnaliste. Nous ne répétons ces choses, ici, que pour mieux défin
12 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
36 ais moi, je ne crois pas aux dieux. Pour nous, la révolution ne créera pas un homme nouveau ou un surhomme, mais un ordre nouveau
13 1937, Esprit, articles (1932–1962). Jacques Benoist-Méchin, Histoire de l’armée allemande depuis l’armistice (mars 1937)
37 n retraite. C’est toute l’histoire de la première révolution allemande (1918-1919) qui se recompose autour de l’aventure du GQG pr
38 la grâce nationale, et qui se charge d’écraser la révolution avec une brutalité qu’aucun bourgeois ne se serait permise. Avis à ce
14 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
39 l’histoire récente du capitalisme anonyme et des révolutions qu’il a fait naître. Or c’est une crise fort analogue qui menace la n
40 ns ce redressement urgent ! Qu’est-ce donc qu’une révolution , sinon justement un effort pour restaurer l’actualité perdue d’une tr
15 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
41 due du désastre, sans apporter les éléments d’une révolution à sa mesure. En outre, il est frappant de constater que presque tous
16 1938, Esprit, articles (1932–1962). Revue des revues (septembre 1938)
42 e qu’il soit assez sot pour se contenter de cette révolution . Je doute que ce qu’il demande ce soit l’honneur d’être exploité par
17 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
43 ïsme passe par l’autre. On admettra que c’est une révolution sérieuse. Et nous pourrons maintenant dépasser la formule toute négat
44 transformer le milieu humain (d’où le mythe de la révolution ), puis l’idée de transformer le milieu naturel (d’où la technique). R