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rs 1933)d Si le christianisme primitif est une
révolution
— et la plus profonde de toute l’histoire —, le protestantisme se doi
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s efforts d’un Eugen Rosenstock — l’historien des
Révolutions
européennes — dans le domaine du service civil et des camps de travai
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jugement permanent et destructeur ; tandis que la
révolution
dans ce qu’elle a de nécessairement constructif, reste le lieu d’obéi
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’introduira jamais dans ses effets (à moins d’une
révolution
). Mais il y a plus. Tout travail qu’on limite à la nécessité d’assure
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le corps qui les subit. L’acte ordonnateur, ou
révolution
La tâche restauratrice de l’esprit, dévolue à notre génération, ap
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là qui est banal ? Je n’en suis pas fâché. Aucune
révolution
n’a jamais inventé de vertu réellement nouvelle. Mais toute révolutio
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inventé de vertu réellement nouvelle. Mais toute
révolution
est d’abord un rappel à certaines vertus négligées. Une nouvelle insi
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n conformisme nouveau (AEAR). Tout de même qu’une
révolution
mal fondée en doctrine, ou qui trahit ses buts humains finaux, abouti
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bre 1934)i Le surréalisme s’est présenté comme
révolution
, et comme tel il a bénéficié pendant plusieurs années, auprès de la c
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onfusions commises depuis la guerre sur le mot de
révolution
. Le public littéraire rendit un très mauvais service aux écrivains su
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e fut le sort de Röhm, entre autres.) Mêlés à des
révolutions
, disloqués, emprisonnés, blessés, malades, ces hommes découvrent peu
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g disait un jour qu’il considérait à cet égard la
révolution
hitlérienne comme un phénomène incomparablement plus important que l’
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ablissement brutal de l’étatisme en Russie, nommé
révolution
bolcheviste. On comprend mieux la portée de ce propos après avoir lu
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ure. Ne serait-ce pas inaugurer officiellement la
révolution
véritable ? Faudrait-il compter sur l’État pour prendre cette initiat
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herche le but et les conditions de la société. La
révolution
de l’avenir sera le triomphe de la morale sur la politique » (L’Aveni
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nces de leur faire comprendre ce que c’est qu’une
révolution
de masses, au sens moderne. Et que ça n’a pas le moindre rapport avec
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lectuels bourgeois qui sympathisent avec la jeune
révolution
. Angoissés par la crise occidentale et l’isolement où ils se voient ;
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les mythes du Progrès indéfini et du Bonheur : la
révolution
russe a eu ce résultat au moins curieux de rendre à certains clercs b
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on politique ; on reconnut alors peu à peu que la
révolution
est au fond l’œuvre d’une minorité, que le gouvernement du prolétaria
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utionnaire, si toutefois l’on refuse de confondre
révolution
et stupidité crasse. Or le danger de cette assimilation n’est pas nia
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u danger. La littérature soviétique est née de la
révolution
. Elle s’est constituée en même temps que son public. Autrement dit, l
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Est-ce que tout le progrès acquis par une si dure
révolution
n’aura été que de donner aux hommes, avec quelques milliers de tracte
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en serez bientôt au point où nous étions quand la
révolution
a éclaté. Si au contraire vous essayez de surmonter votre anarchie, v
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te, pour calculer et préparer spirituellement une
révolution
qui soit nôtre, sans brutalités extérieures, sans destructions aveugl
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rement dit, nous avons à créer un nouveau type de
révolution
, dont l’exemple vous sera certainement plus utile que les critiques d
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celles qui ont fait ou subi depuis la guerre une
révolution
de masses. Elles mènent une vie dure et s’en disent fières. Certes, e
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a jeunesse bourgeoise hésite à s’engager dans une
révolution
spirituelle dont elle redoute l’impuissance pratique à l’heure où il
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uation cosmique nouvelle est la vraie cause de la
révolution
mondiale, de l’appel qui surgit de l’inconscient des peuples vers une
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ions de cette puissance communautaire ont été les
révolutions
communistes et nationalistes. 4. Les premières réponses. C’est pour
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notre commune mesure originale, à la faveur d’une
révolution
qui nous apporte au moins l’équivalent des dynamismes nationaux. Nous
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les doctrines provisoires ou les tactiques de ces
révolutions
, mêlons-nous à leurs masses déifiées, distinguons leurs raisons profo
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les peuples impériaux est là. L’avenir dira si la
révolution
des « libéraux » peut influencer, à force égale, les révolutions reli
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« libéraux » peut influencer, à force égale, les
révolutions
religieuses qui dressent leurs monuments sacrés à l’Est. Pour le prés
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. Toutes les grandes littératures sont nées d’une
révolution
, non d’une émeute dans les lettres. Pour qu’une école se crée, il fau
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suppose le développement sur tous les plans de la
révolution
personnaliste. Nous ne répétons ces choses, ici, que pour mieux défin
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ais moi, je ne crois pas aux dieux. Pour nous, la
révolution
ne créera pas un homme nouveau ou un surhomme, mais un ordre nouveau
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n retraite. C’est toute l’histoire de la première
révolution
allemande (1918-1919) qui se recompose autour de l’aventure du GQG pr
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la grâce nationale, et qui se charge d’écraser la
révolution
avec une brutalité qu’aucun bourgeois ne se serait permise. Avis à ce
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l’histoire récente du capitalisme anonyme et des
révolutions
qu’il a fait naître. Or c’est une crise fort analogue qui menace la n
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ns ce redressement urgent ! Qu’est-ce donc qu’une
révolution
, sinon justement un effort pour restaurer l’actualité perdue d’une tr
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due du désastre, sans apporter les éléments d’une
révolution
à sa mesure. En outre, il est frappant de constater que presque tous
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e qu’il soit assez sot pour se contenter de cette
révolution
. Je doute que ce qu’il demande ce soit l’honneur d’être exploité par
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ïsme passe par l’autre. On admettra que c’est une
révolution
sérieuse. Et nous pourrons maintenant dépasser la formule toute négat
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transformer le milieu humain (d’où le mythe de la
révolution
), puis l’idée de transformer le milieu naturel (d’où la technique). R