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vec lesquels je rêverais d’entreprendre une belle
révolution
, qui rajeunisse la France : ils ont la bonne humeur, le dynamisme, le
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tes » de la région. On m’avait prié de parler des
révolutions
russes de 1905 et de 1917, et de l’état actuel de l’URSS. Ils étaien
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nt irrégulièrement le feu vert — cinq secondes de
révolution
— et le feu rouge — six ou sept secondes. Tout ce qu’embrasse mon reg
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exe que je viens de décrire. Ce sont les idées de
révolution
, de passion et de progrès. Elles sont nées toutes les trois de la rév
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rmée dans le prisme gréco-judéo-romain. L’idée de
révolution
est inconcevable pour un Asiatique ou un Noir, s’ils n’ont pas eu de
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a Renaissance, les Lumières, le romantisme et les
révolutions
. Endormie en plein Moyen Âge, on la réveille au siècle américain et r
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les milieux théologiques de langue allemande une
révolution
comparable à celle du freudisme ou du léninisme dans d’autres domaine
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eurs vont prendre la relève. Lénine disait que la
révolution
communiste, c’était les soviets plus l’électricité. Pour moi, le fédé