1 Tous ces mouvements profonds de l’âme, toutes ces révolutions du sentiment, de l’esprit, de la vie communautaire, ont recouvert le

2 ra-t-il tout à fait « suisse » qu’après une brève révolution instaurant le régime républicain ; et ce ne sera qu’en 1848, année qu

3 ion de 1848 fut préparée par une série de petites révolutions locales qui unifièrent quelque peu les régimes cantonaux, en renversa

4 ice ou la Liberté, la civilisation ou la dernière révolution . On y mêlait très peu de sentiment. On ne concevait pas encore la hai

5 Chateaubriand, Amérique, Gouvernement. Pendant la révolution , projet attribué aux girondins de rompre l’unité nationale et de tran

6 rs contre les girondins », Thiers, Histoire de la révolution , chap. I. Pour un Français, la cause est entendue : fédéraliste égal

7 intérêts et nos principes. À moins que la grande révolution technique en cours (automation, électronique, nouvelles sources d’éne

8 deux s’opère en quelques secondes la silencieuse révolution du centre où se confondent les extrêmes les plus touchants du souveni

9 yer, le génie paracelsien de C. G. Jung opère une révolution fondamentale dans la psychologie et la science des religions. Dans la

10 les milieux théologiques de langue allemande une révolution comparable à celle du freudisme ou du léninisme dans d’autres domaine

11 ution des voisins, mesurée en étapes dynastiques, révolutions , conquêtes et « malheurs exemplaires » ; mais on ne cesse d’innover s