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solue, nous contraint à une conception proprement
révolutionnaire
(ou « changement de plan »), qui seule nous restitue l’unité de visio
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p volontaire, de trop positif, de trop réellement
révolutionnaire
et constructif, le « romancier à succès », de nos jours, est devenu u
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déal personnel, et moins encore au nom d’un idéal
révolutionnaire
cohérent. Il n’a qu’une crainte : celle de passer pour autre chose qu
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! Activez la propagande ! » Ô merveille du pathos
révolutionnaire
! ô gloire de la phraséologie marxiste ! Ô triomphe des mots d’ordre
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fournie par ces phrases cueillies dans un journal
révolutionnaire
: ‟L’organisation lutte afin de faire accorder une retraite aux vieux
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la pensée, par une action45 qui ne peut être que
révolutionnaire
. Et cependant l’opposition de Marx et de l’apôtre éclate en ceci : qu
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e, et au nom même de sa foi, dans la posture d’un
révolutionnaire
permanent. Non seulement il se voit contraint de venir en aide à son
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e pesanteur ne gagne pas sans cesse sur les élans
révolutionnaires
spasmodiques qui agitent l’humanité (comme en 1789 et en 1917), il fa
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e rationnellement comprise que comme une activité
révolutionnaire
. » Phrase importante à l’extrême ! Mais combien oubliée par le commun
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52. « Je ne vois jamais le christianisme devenir
révolutionnaire
! » S’exclamait naguère Jean Guéhenno (Union pour la Vérité, 22 mars
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n : « Je crois qu’il n’y a jamais eu de tentative
révolutionnaire
qui n’ait été d’origine chrétienne. S’il n’y a pas de socialisme en A