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eux, à la fois comme des conquérants et comme des
révolutionnaires
. Ce trait mérite une attention spéciale. Peu sont des partisans au pr
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pas seulement à leur réputation d’aventuriers, de
révolutionnaires
ou d’aviateur qu’est dû le prestige particulier de leurs écrits, mais
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er sur place l’Europe d’aujourd’hui, cette Europe
révolutionnaire
et nationaliste, violente, ignorante, à moitié démolie, et d’où monte
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un siècle et demi seulement après son apparition
révolutionnaire
dans notre Histoire. À l’inverse, le fédéralisme se trouve en pleine
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cherché à produire sur l’opinion publique le choc
révolutionnaire
qu’eût représenté l’exigence immédiate d’une fédération politique. C’
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s ; mais ceux-ci traduisent bien plutôt la nature
révolutionnaire
des problèmes qui surgissent dans l’époque, l’inordinatio profonde du