1 ’un équilibre humain est d’ailleurs beaucoup plus révolutionnaire qu’on ne le pense. Elle suppose la fin du gigantisme des villes, la r

2 gnes5 : Plaçons-nous sur le plan de la tradition révolutionnaire . Nous rencontrons, d’une part, un mouvement vers l’universel, où l’in

3 u-dessus de toutes les frontières, une communauté révolutionnaire unique… D’autre part, un mouvement de libération de toutes les forces

4 mmodité de l’exposé : mais dans le cœur du peuple révolutionnaire , ils sont unis d’un lien indissoluble. Cette liaison de l’universel

5 opposée au fédéralisme, c’est parce que la guerre révolutionnaire , recréant entre les peuples ces frontières que niait précisément l’es

6 entre la décentralisation régionaliste et l’unité révolutionnaire  », Dandieu voyait dans la réaction stalinienne le type même de « l’in

7 ervention paralysante du nationalisme dans l’élan révolutionnaire  ». Et il concluait : Fidèles à la véritable tradition française, nou

8 et sur l’individualisme spirituel6. La communauté révolutionnaire doit, en effet, placer le spirituel avant l’économique, même socialis

9 e privé ou étatiste. De même, la décentralisation révolutionnaire … doit dévaloriser les cadres nationaux, libérant le vrai sentiment pa

10 ur effets civiques de faire passer les « ferments révolutionnaires  » et les « idées subversives » dans les seules élites dirigeantes mai

11 r dans la Rome antique les prototypes de l’esprit révolutionnaire , André Siegfried pense au contraire que ce sont « les prophètes d’Isr

12 l » qui ont « déposé dans notre esprit cette soif révolutionnaire de la justice qui distingue socialement l’Occident ». La vérité que n