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mais au contraire libératrice. Et c’est une tâche
révolutionnaire
qui s’impose à la France actuelle : non pas seulement pour le salut d
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et surtout à agir sur un plan anticapitaliste et
révolutionnaire
, c’est-à-dire supranational. Ce n’est pas en acceptant le joug barbar
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notre rencontre décisive au congrès des jeunesses
révolutionnaires
d’Europe, à Francfort, en 1932. Nos liens d’amitié et d’action étaien
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quoi l’État préclassique est toujours, au départ,
révolutionnaire
». On a bien lu : « Bien savoir qui est l’État, c’est savoir au profi
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ien au départ de la Révolution, que la devise des
révolutionnaires
: le Vive la Nation clamé par les troupes françaises lors de la canon
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assique : « Louis XIV dans sa majesté n’est qu’un
révolutionnaire
qui a réussi : un premier Napoléon, profiteur d’un premier jacobinism
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nner peut-être le glas de l’Europe ? Seul un acte
révolutionnaire
des délégués à Strasbourg peut réveiller la volonté de vivre dans not
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t. L’heure est venue pour vous d’accomplir l’acte
révolutionnaire
qui seul peut nous sauver. Nous demandons que les délégués conscient