1 nt depuis quelques années dans les jeunes groupes révolutionnaires de France et de Belgique, dans la revue Esprit , et dans les cercles

2 t une question qu’on pose souvent aux groupements révolutionnaires que je vous ai cités. Je voudrais y répondre ici en mon nom personnel

3  : l’acte de la miséricorde, c’est l’acte le plus révolutionnaire qui ait jamais paru dans notre monde. Lui seul suffit à vaincre les d

4 notre désespoir. Les grandes lois historiques et révolutionnaires peuvent bien nous servir de refuge, de prétextes et d’arguments au se

5 minisme s’est révélé incapable de soutenir l’élan révolutionnaire originel. Telle est la contradiction centrale du marxisme : les fins

6 olutive, en face du christianisme essentiellement révolutionnaire . 19. Du moins avec les citadins. Les communistes du Midi ne savent

7 ce. Tel qu’il devrait être : c’est la conception révolutionnaire , ou dynamique, la politique du devenir et de l’évolution fatale. C’es

8 e espérance qui, elle, a bien le droit de se dire révolutionnaire . Quelle autre voie s’ouvrirait donc au christianisme, hors celle de l

9 ifice qui, dans tous les domaines, fait de lui un révolutionnaire , l’homme du risque opposé à l’homme des assurances. Car l’humanisme n

10 édigés par de jeunes écrivains membres de groupes révolutionnaires personnalistes et marxistes. Ce Cahier de revendications était intr

11  existence » se concrétise dans une « nécessité » révolutionnaire dont l’ampleur est sans précédent. Ce n’est plus seulement de conflit

12 pu lire dans ce Cahier définissent deux positions révolutionnaires malaisément comparables : l’une matérialiste, l’autre personnaliste ;

13 choses de près, leur meilleur argument contre les révolutionnaires non marxistes. Mais comment nous laisser convaincre par une réussite

14 qui selon eux déterminent entièrement le devenir révolutionnaire . Mais c’est de la mythomanie : les « Forces économiques », dont ils p

15 acteur « décisif », sinon suffisant, du processus révolutionnaire , et que nier cette valeur « décisive » de la personne, c’est désarmer

16 es tentatives qui ne se fondent pas sur la classe révolutionnaire ne comportent pas de points d’application », écrit Nizan. Voilà bien

17 eau, Esprit, travaillent dans la ligne des forces révolutionnaires profondes de la France. Cette révolte de la personne, c’est la révolt

18 phrase citée de M. Nizan est exactement celle des révolutionnaires russes dit « populistes », aux environs de 1900. Lénine a eu des sarc

19 XII.Communauté révolutionnaire L’époque où nous vivons cherche la paix comme d’autres ont cherché

20 és, mais bien dirigés. Sur le plan de la tactique révolutionnaire , il faut traduire « pouvoir de la personne » par « solidité de la doc

21 épendante du contenu particulier — d’une doctrine révolutionnaire . 1° La doctrine situe les faits au fur et à mesure de leur apparition

22 s, d’une visée ferme ; 2° La doctrine d’un groupe révolutionnaire n’est pas seulement théorique, elle est aussi militante. Elle s’appli

23 e ainsi, par elle-même, une valeur morale pour le révolutionnaire , qu’elle prépare sans cesse aux actes nécessaires ; 3° La doctrine es

24 , les conclusions pratiques et les significations révolutionnaires . Je ne voudrais insister maintenant que sur son caractère de jugement

25 auparavant qu’il ait pris une conscience vraiment révolutionnaire de son vice interne, vice qui affecte dès l’origine sa conception de

26 e et la situation concrète de la France en termes révolutionnaires et politiquement créateurs. Devant cette impuissance, que va faire la

27 du monde entier, la France possède une tradition révolutionnaire unique en Europe, tradition qui a ses ancêtres et ses idéologues, ses

28 un « changement de plan », — c’est-à-dire un acte révolutionnaire . Ils se dressent ainsi contre le préjugé le plus nocif de la mentalit

29 qui mesure l’efficacité d’une prise de conscience révolutionnaire . Lieu commun pour cette génération : la violence véritable est celle

30 s qui assurent d’ordinaire aux publications dites révolutionnaires un succès de lecture, aux dépens de toute adhésion durable. Des obscu

31 politique, le premier acte que nous exigeons d’un révolutionnaire , c’est un acte d’imagination : en présence d’une donnée concrète, tro

32 rlementaire, — absolument stérile du point de vue révolutionnaire . Celui-là seul est mûr pour la révolution qui a compris l’absurdité d

33 e de la pensée, et sur ses droits. « Sans théorie révolutionnaire , pas d’action révolutionnaire, écrivait Lénine dans Que faire ? On ne

34 its. « Sans théorie révolutionnaire, pas d’action révolutionnaire , écrivait Lénine dans Que faire ? On ne saurait trop insister sur cet

35 être des mots. Esprit et Révolution… « Le malaise révolutionnaire et la confusion des idées en sont arrivés à un tel point que les deux

36 ationalistes qui ne peuvent rendre compte du saut révolutionnaire . « En réalité, la dictature de transition qui enterre toutes les reve