1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
1 xviiie siècle, de souci moralisateur ou d’esprit révolutionnaire , ignorant la curiosité, il ne peut avoir cure ni de ses droits distin
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
2 monde les valeurs qui animeront plus tard l’idéal révolutionnaire (lequel va les changer en revendications) : l’exigence d’une justice
3 et aux « intérêts de l’État ». Ainsi, le type du révolutionnaire européen se détache sur le fond d’une foi qui tient la liberté et l’a
4 ue les premiers chrétiens se soient conduits en «  révolutionnaires  » au sens moderne de l’expression. Certes, l’Église, organisant les g
5 d’abord soi-même. Il s’agit donc, dans le cas du révolutionnaire , d’une conversion non pas de l’être mais du faire ; et de plus, délég
6 evenu le soldat politique embrigadé. Que le Parti révolutionnaire soit une exacte parodie (consciente ou non) de l’Église chrétienne, v