1
xviiie siècle, de souci moralisateur ou d’esprit
révolutionnaire
, ignorant la curiosité, il ne peut avoir cure ni de ses droits distin
2
monde les valeurs qui animeront plus tard l’idéal
révolutionnaire
(lequel va les changer en revendications) : l’exigence d’une justice
3
et aux « intérêts de l’État ». Ainsi, le type du
révolutionnaire
européen se détache sur le fond d’une foi qui tient la liberté et l’a
4
ue les premiers chrétiens se soient conduits en «
révolutionnaires
» au sens moderne de l’expression. Certes, l’Église, organisant les g
5
d’abord soi-même. Il s’agit donc, dans le cas du
révolutionnaire
, d’une conversion non pas de l’être mais du faire ; et de plus, délég
6
evenu le soldat politique embrigadé. Que le Parti
révolutionnaire
soit une exacte parodie (consciente ou non) de l’Église chrétienne, v