1 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 5. Un langage commun
1 liberté, que tous nos partis, doctrines et sectes révolutionnaires tirent de leur côté et précisent abusivement dans une seule direction
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 9. La crise moderne du mariage
2 opère librement mais sans doute plus profondément révolutionnaire par ses effets. La vulgarisation extrême des valeurs romanesques ou r
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 10. Le défi du marxisme
3 la pensée, par une action26 qui ne peut être que révolutionnaire . Et cependant l’opposition de Marx et de l’apôtre éclate en ceci : qu
4 e, et au nom même de sa foi, dans la posture d’un révolutionnaire permanent. Non seulement il se voit contraint de venir en aide à son
5 e pesanteur ne gagne pas sans cesse sur les élans révolutionnaires spasmodiques qui agitent l’humanité (comme en 1789 et en 1917), il fa
6 e rationnellement comprise que comme une activité révolutionnaire . » Phrase importante à l’extrême ! Mais combien oubliée par le commun
7 33. « Je ne vois jamais le christianisme devenir révolutionnaire  ! » S’exclamait naguère Jean Guéhenno (Union pour la Vérité, 22 mars
8 n : « Je crois qu’il n’y a jamais eu de tentative révolutionnaire qui n’ait été d’origine chrétienne. S’il n’y a pas de socialisme en A
4 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 12. Le mouvement œcuménique et le fédéralisme
9 ntiennent en même temps un indiscutable dynamisme révolutionnaire . 3. L’organisation du Conseil œcuménique se trouve être de fait la se