1
st une conséquence du despotisme, et que l’esprit
révolutionnaire
doit trouver les moyens de tempérer… cette espèce d’aristocratie du l
2
rk, 1948. 82. Ceci est vrai aussi de théoriciens
révolutionnaires
comme Saint-Simon et Marx, qui ont contribué d’une manière décisive à
3
s 1932, au lendemain d’une rencontre de jeunesses
révolutionnaires
françaises et allemandes, qui s’était tenue dans un Francfort « en pr
4
— à la fois transcendante et immanente — une idée
révolutionnaire
se met à progresser. Elle ne s’explicitera que dans la mesure où la p
5
cialisation, qu’on la présente comme une conquête
révolutionnaire
ou comme la garantie de l’ordre social, l’étatisation de la société,
6
eur suite en ce siècle) tiennent depuis 1792 pour
révolutionnaires
, et même pour l’essentiel de la Révolution : « renverser le pouvoir »
7
ue la guerre des nations. En êtes-vous sûrs ? Les
révolutionnaires
, depuis deux-cents ans, ont visé à la prise du pouvoir, mais toutes l
8
is aussi les vœux du Karl Marx d’après 1848, ce «
révolutionnaire
mort jeune », comme l’appelaient Aron et Dandieu — celui que Bakounin
9
. — Refus du « système », ce refus passant pour «
révolutionnaire
». On ne s’occupe pas encore de l’Europe, ni de régions, ni de la cré