1 onder une religion. Mais ce n’est peut-être qu’un rêve de poète. Il y a un autre Montherlant, plutôt stoïcien, celui-là. Et

2 ur infuser dans nos corps charmés d’un repos sans rêves une langueur dont on ne voudrait plus guérir… Mais nous voyons la vil

3 iques — cette vie rapide dans un décor qui est le rêve éternisé des plus voluptueuses intelligences — tous les tableaux dans

4 quoi pas naissance d’un songe ? C’est en effet un rêve de précision qui s’incarne dans ces motifs géométriques, pour le plai

5 Le café est un lieu anonyme bien plus propice au rêve que ma chambre où m’attendent tous les soirs quand je rentre du burea

6 allèrent un peu vers l’avenir et j’osai quelques rêves . C’était, je m’en souviens, une petite automobile qui roulait dans la

7 e, j’irai tenter la misère aux yeux las pleins de rêves , la misère qui fait des soirs si doux aux amants quand ils n’ont plus

8 je devrais tenter quelque chose. Je suis plein de rêves , certains soirs. Il faut pourtant rentrer chez moi, et ma femme m’emb

9 ou peut-être pour essayer de se prendre encore au rêve de valse qu’on était venu chercher parce que cela vaudrait bien d’aut

10 d’une fanfare militaire, ainsi je m’abandonne au rêve d’un monde que suscite en moi seul peut-être cette plainte heureuse d

11 ne sais plus quoi. Mais sans doute évadé dans son rêve , beaucoup plus loin que moi, il n’entend pas ma question. L’envie me

12 , verdâtre, et Gérard, penché sur cet aquarium de rêves , discourt et décrit les images qu’il y découvre. Il y a les ailes du

13 rtaines expériences particulières, telles que les rêves (à l’état normal) ou les hallucinations (à l’état pathologique), pour