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os, Gyergyai fouille la plaine à la longue-vue et
rêve
qu’il y est, je grimpe au cerisier sauvage, derrière la maison, un pe
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On ne tire pas sur un petit-bourgeois qui est le
rêve
de 60 millions d’hommes. On tire sur un tyran, ou sur un roi, mais le
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dividu. Il ne s’appartient plus, il appartient au
rêve
de tous. Il n’a plus de qualités propres, de vices ou de vertus, comm
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éfauts bien marqués a pu devenir l’incarnation du
rêve
des masses, c’est uniquement parce qu’il a su répondre à l’attente an
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re les réactions collectives des Allemands et les
rêves
d’un Allemand. Quand les formes se disloquent, le mythe n’est plus un
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te les instincts et les passions, et satisfait le
rêve
nostalgique du retour à la nature, d’une fraternité plus charnelle, d
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usiaste d’un au-delà libérateur. Ce n’est plus le
rêve
du retour aux origines, c’est le rêve d’un avenir éternel, d’une révé
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est plus le rêve du retour aux origines, c’est le
rêve
d’un avenir éternel, d’une révélation inouïe. Il s’agit donc de l’att
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vie s’exaspère ont-ils fait à la mort, dans leurs
rêves
, la part que nous fîmes à l’amour ? Urs Graf, Holbein, Hans Kluber, G