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, le sais-tu, ce sont les paysans de Kiew, que tu
rêves
de combler de bienfaits. (Tolstoï, La Guerre et la Paix.) Cette page
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e à de tels chocs. Car elle est vraiment comme un
rêve
, un rêve heureux où l’on circule avec aisance, gardant parfois l’arri
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ls chocs. Car elle est vraiment comme un rêve, un
rêve
heureux où l’on circule avec aisance, gardant parfois l’arrière-consc
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t goûte encore quelques instants les délices d’un
rêve
inachevé. Mais il sait bien que c’est fini. Brève dispense, le temps
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y a d’abord nos offres et nos demandes, selon nos
rêves
et nos passions. Il n’y a pas d’abord les machines puis une société q
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ècle, Hitler aura joué le rôle d’un personnage de
rêve
d’angoisse. Ce rêve collectif a modelé notre histoire, mais il était
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ué le rôle d’un personnage de rêve d’angoisse. Ce
rêve
collectif a modelé notre histoire, mais il était d’abord dans l’ombre
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orrespondances avec les formes régulières dont le
rêve
compose ses drames. Il se peut même que ces figures ne soient, à l’or
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soupçonné : Jean-Paul invoque la « rhétorique des
rêves
». Mais c’est Baudelaire qui touche le vrai point, lorsque, risquant
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comme L’Astrée. Mais L’Astrée n’est encore qu’un
rêve
éveillé, donné pour tel par son auteur. C’est avec La Princesse de Cl
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s des profondeurs de l’être, identiques à ceux du
rêve
, et crus comme tels avec reconnaissance, au double sens de l’expressi
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iques, comme le sont les symboles de nos « grands
rêves
». De fait, chacun des arcanes majeurs est une apparition, un grand r
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des arcanes majeurs est une apparition, un grand
rêve
fixé, et peut être analysé à ce titre. Les figures de la papesse, de
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terreur. Son visage est plein d’intelligence, de
rêve
et d’attente. C’est un prince de l’autre monde en voyage ici-bas. Sou
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mêle encore confusément. Nous sommes là comme en
rêve
, empêtrés, dans le sentiment d’une urgence que nous ne parvenons pas
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? Quelle est sa fin, dès l’origine, quel est son
rêve
? La grandeur ? Nous avons détruit toute mesure, et plus rien n’est g
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ssances lointaines. Toutefois, elle reste liée au
rêve
d’activité qui tourmente l’Occident depuis des siècles. Mais ce rêve,
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tourmente l’Occident depuis des siècles. Mais ce
rêve
, à son tour se trouble ; il faiblit, il ne couvre plus toute l’étendu
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ui, que cela se peut. Cela s’est produit comme un
rêve
, ou comme la colère soudain là, ou le printemps, ou chaque soir la nu
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encore une rencontre ménagée à la ressemblance du
rêve
: toute une cérémonie, avec ses rôles prescrits, son ouverture déclar