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n peu sceptique, quand mon esprit partait dans le
rêve
d’un idéal de fortune, idole naïve de ma jeune angoisse… Je t’ai mieu
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Ô dernier mensonge tu, Je m’enfuis vers d’autres
rêves
Où sourient quels anges fous. L’horaire dicte un adieu, La mode qu’on
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llères géantes aux pensées, le ciel trop bas d’un
rêve
sans issue, pesant comme l’envie d’un sommeil sans fin… J’avais soif,
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uisé que je mêlais à mes pensées des fragments de
rêves
et les personnages des affiches, tout en marchant sans fin dans les c
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phrase, s’écrie-t-il, c’est un poème, un poème du
rêve
, une fleur du fond de la mort. » Or, on découvre à la fin de la pièce
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e c’est une anagramme un peu ordurière. Ainsi les
rêves
publiés par les surréalistes, donnés à la fois comme poèmes et comme
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, ils rencontrèrent une créature évadée d’anciens
rêves
qui hantait les limbes depuis un an déjà. Ils ne tardèrent pas à reco
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parade « née du mariage de nos veilles et de nos
rêves
», ainsi que le disait si poétiquement le programme. Un peu d’histoir
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te Entr’acte (1925). « Une étude sur le Monde des
Rêves
». Rondes de cheminées dans le ciel où des pressentiments clignent de
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ngénieuse et précise de certaines théories sur le
rêve
, le peuple, qui n’a pas vu ces dessous mais accueille le résultat ave
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ve et dit : « C’est bien ça, c’est comme quand on
rêve
. » Un des défauts d’Entr’acte, c’est la fantaisie recherchée de certa
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é et des phrases d’un fascinant éclat : « Ô grand
Rêve
, au matin pâle des édifices, ne quitte plus, attiré par les premiers
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er à s’amuser ? Février 1927. Relu Une vague de
rêves
et la préface de Libertinage. Sous une certaine rhétorique — mais la
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sommes prêts à les accueillir. 7. Une vague de
rêves
(dans Commerce). 8. Et malgré certaines théories bien superficielles
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es, comme cette prétention à la libération par le
Rêve
. « La liberté commence où naît le merveilleux. » Au vrai, et surtout
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un non-sens de chercher l’absolue liberté dans le
rêve
. Le rêve, c’est la tyrannie des souvenirs ; et ce n’est pas se libére
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ns de chercher l’absolue liberté dans le rêve. Le
rêve
, c’est la tyrannie des souvenirs ; et ce n’est pas se libérer que de
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inute auquel succède immédiatement le sommeil. Je
rêve
beaucoup. Cela explique, m’a-t-on dit, le peu de goût que j’ai pour l
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gant. Mais comme tout cela manque de chair. Et de
rêve
. Est-ce qu’en ce temps-là on ne se nourrissait vraiment que de petits
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le contraire de la souffrance. C’est pourquoi vos
rêves
composent toujours le même paysage de carte postale en couleurs, idéa
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été pour lui dans la distance et dans le temps du
rêve
. Mais au-delà des accidents remémorés, qu’en était-il de la substance
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futur anticipé qui fera de lui un passé. Ionie de
rêve
, où jamais il n’ira, car elle n’est plus. Paysages évoqués — non décr