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synthèse « paradoxale » et jamais suffisante, du
rêve
et du réel. Ignorer, méconnaître ces faits spirituels, c’est se conda
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ou peut-être pour essayer de se prendre encore au
rêve
de valse qu’on était venu chercher parce que cela vaudrait bien d’aut
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d’une fanfare militaire, ainsi je m’abandonne au
rêve
d’un monde que suscite en moi seul peut-être cette plainte heureuse d
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ne sais plus quoi. Mais sans doute évadé dans son
rêve
, beaucoup plus loin que moi, il n’entend pas ma question. L’envie me
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, verdâtre, et Gérard, penché sur cet aquarium de
rêves
, discourt et décrit les images qu’il y découvre. Il y a les ailes du
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tés du rez-de-chaussée, elles me désignent un des
rêves
de mon adolescence : sur un canapé d’angle, drapée dans une robe long
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s ? Anday chante. Ils me voient dans la nudité du
rêve
, oh ! je les hais de me voir ! Je tiens la main d’une femme qui tremb
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oissé, bienheureux : il se lève, il reconnaît son
rêve
. Huit heures aux clochers de la capitale qui s’avance dans la lumièr
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os, Gyergyai fouille la plaine à la longue-vue et
rêve
qu’il y est, je grimpe au cerisier sauvage, derrière la maison, un pe
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aime les Hongrois comme on aime l’enfance : or le
rêve
de l’enfant, c’est de devenir une grande personne. On me l’a dit, c’e
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ligne nette, insaisissable, déjà perdue (comme le
rêve
pendant que bat la paupière lourde de celui qui succombe à l’excès du
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r le vent sur la plaine… Ils l’ont perdu comme un
rêve
au matin s’élude, — et leur musique seule s’en souvient. Trésor si pu
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e refoule dans mon compartiment. Est-ce encore un
rêve
? Je comprends bien qu’il faudrait ouvrir ces valises, mais j’ai perd
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n’ai-je su voir autre chose que la Hongrie de mes
rêves
, ma Hongrie intérieure ? Il est vrai que l’on connaît depuis toujours
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racle imminent. Ou moins encore : l’image, née en
rêve
, d’une plaine, d’un couchant plus grandiose au ciel et sur la terre p
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dont tu n’as vu l’enjeu qu’un seul instant — nos
rêves
sont instantanés — que tu es parti ; et maintenant tu joues ce rôle,
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s à composer des phrases, tout en allant comme en
rêve
sur l’herbe où s’étouffait tout bruit. « Ô crépuscule adolescent, dis
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lieux de l’esprit où circulent des bêtes nées du
rêve
. Et l’Archer vierge y court en vain sur la trace des figures de son d
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bile et l’ineffable du monde. Cure de sommeil, de
rêves
et de feuillages — et trois heures de tennis chaque après-midi —, cur
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aller dormir. Ainsi, dormez bien, faites de doux
rêves
, — il cligne vers son magazine — pas trop doux, hein !… » Tout cela e
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nt noué son collier à mon poignet : « pour que je
rêve
d’elle ». Son sérieux enfantin devant la vie. « Es ist doch Schicksal
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la jeune fille tzigane. Le dirai-je ici comme un
rêve
? ou comme quelque chose de bien vrai et qui s’est passé cette nuit ?
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ence, les yeux clos. L’arbre, en sa nuit vivante,
rêve
de nous. Plus tard, nous nous sommes regardés sans fin. (Ah ! comment
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’esprit qui se concentre dans un désir ou dans un
rêve
. Le vin de Souabe grise insensiblement, c’est plutôt qu’une fièvre un
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ez pour se rendre compte de la décadence de leurs
rêves
et des possessions en rêve — ce signal d’alarme —, et l’amour qu’ils
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la décadence de leurs rêves et des possessions en
rêve
— ce signal d’alarme —, et l’amour qu’ils essaient encore le samedi s
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des membres d’un parti national-marxiste dont le
rêve
est de restaurer la Prusse du grand Frédéric par les méthodes de Léni
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r commandement dans cet Ordre du Sacrifice auquel
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l’Europe, qu’elle redoute encore, mais qui forge sa loi au secret de
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ce clapotis d’une eau étrangement vivante et qui
rêve
; et rien que nos yeux qui brillent dans l’étendue où nos deux formes