1 1934, Politique de la personne. Introduction — Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
1 ion toujours plus irréelle de sa pensée et de ses rêves . Elle pense trop haut, agit trop bas : c’est qu’elle a perdu la mesur
2 1934, Politique de la personne. Introduction — En dernier ressort
2 ns sa bassesse, ou du tyran vidé d’héroïsme et de rêves . Toute l’histoire le démontre avec le conte fameux : l’homme ne peut
3 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
3 istoire15, qui pense par périodes séculaires, qui rêve et qui, pour comble, se croit seul éveillé et conscient des réalités.
4 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
4 c’est-à-dire sans classes.) Tout cela n’est qu’un rêve d’intellectuel qui ne tient plus aucun compte de la réalité humaine.
5 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
5 aine, a réalisé, sur le plan laïque, un des vieux rêves de la pensée thomiste51. Dangers du fascisme La cohérence du fa
6 1934, Politique de la personne. Appendice — Loisir ou temps vide ?
6 é sur une échelle que Ford n’avait imaginée qu’en rêve , c’est la tentative désespérée de Staline pour introduire un peu de j
7 1934, Politique de la personne. Appendice —  La Révolution nécessaire
7 ou va-t-elle une fois de plus, s’endormir dans le rêve d’un « troisième terme » dont nous connaissons désormais le monstrueu