1 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
1 orale. C’est devant soi-même d’abord, et comme en rêve , qu’on joue un rôle dans l’impunité. Le monde actuel est plein d’indi
2 n de nous en lui) dans la mesure où il cultive un rêve de déification de l’homme par sa science ; où il nie toute transcenda
2 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
3 On ne tire pas sur un petit-bourgeois qui est le rêve de 60 millions d’hommes. On tire sur un tyran, ou sur un roi, mais le
3 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
4 t diabolique en soi ! Mais si l’on s’abandonne au rêve du Progrès, laissant aller les choses avec l’arrière-pensée fataliste
4 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
5 s et d’intérêts puissants capables d’absorber nos rêves . Ce culte de la passion toujours fuyante, j’y vois le signe d’une esp
5 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
6 arrare vigilantis est, disait Sénèque : conter le rêve est le fait de l’homme qui ne dort plus. C’est un écho lointain du gr
7 onnes faibles ne peuvent être sincères.34 » Et je rêve d’une anthologie de ces maximes d’une fierté sans jactance… J’imagine
8 , mais à la gloire de la Vérité. J’imagine, je ne rêve pas : je me prépare à marcher. Je sens que j’ai quitté déjà ce livre,