1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Le problème de la guerre et l’essor des États (xvie siècle)
1 nt à sa mort, en 1558, que reste-t-il de ce grand rêve d’une monarchie universelle dont le foyer eût été l’Europe unie ? Tou
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
2 it un sort au mot du Cardinal Dubois : « C’est le rêve d’un homme de bien. » À quoi Th. Ruyssen ajoute : « Mais ce rêve ne c
3 de bien. » À quoi Th. Ruyssen ajoute : « Mais ce rêve ne cessera de hanter la conscience de l’humanité. » 90. Ernest Nys
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — En marge des grands plans, l’utopie prolifère
4 1794. L’auteur commence par avertir que quand on rêve pour le public, il faut prendre garde de s’endormir et de mettre sa s
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
5 erselle russe, — la décourageante prophétie !… Ce rêve n’est pas une bulle de savon qu’un souffle anéantit, mais en lui nous
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
6 ons, des scissions, des minorités. Son idéal, son rêve le plus délectable, est unité, identité, uniformité, concentration ;
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
7 rté publique et personnelle, l’esclave, à genoux, rêve la domination du monde. … La Russie voit dans l’Europe une proie qui
8 fois séculaire d’appartenir à l’Europe, désir et rêve qui nous ont poussés à des actes si forcenés. Il se peut aussi que no
9 cles devient jeu de symboles poétiques. Un même «  rêve de l’Europe » le hante, qu’il fait rêver successivement au Stavroguin
10 lime aberration de l’humanité ! L’âge d’or est le rêve le plus invraisemblable de tous ceux qui ont jamais été, mais pour lu
11 ! Et toute cette sensation, je l’ai vécue dans ce rêve  ; les rochers et la mer, les rayons obliques du soleil couchant, tout
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
12 rlez à bon droit de garanties contre le retour de rêves malsains ; mais quelle garantie vaudrait celle de l’Europe, consacran
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
13 e et le Monde. Mais gardons-nous de fuir dans les rêves de peuples souffrants, ce ne serait pas conforme à l’esprit de Marc A
14 buts, sur ceux qu’elle peut et doit donner à ses rêves et à sa volonté. Quelles sont nos valeurs spécifiques, celles qui man
15 piétistes et par les héritiers mystiques du vieux rêve de l’alchimie : parfaire la Création de Dieu et coopérer à sa rédempt
16 deux empires, de certaines ambitions, de certains rêves et de certaines croyances apparus sur son sol, et qui semblaient parf
17 t qui semblaient parfois définir son génie. Notre rêve du progrès par exemple semble avoir évacué l’Europe pour émigrer vers
18 rection. À force d’imagination et de courage, nos rêves ne se perdent pas dans une extase somnolente : ils sont actifs. Est-c