1 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
1 rellement du monde. Il y avait, selon Dürrer, 149 rôles parlants, et la représentation demanda « deux jours pleins ». Ce n’es
2 Frère Claus y est mise en valeur, tandis que son rôle politique n’est même pas mentionné. (Cela gênait l’Église, remarque D
2 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
3 usse, une vie mauvaise, antihumaine. C’eût été le rôle des hommes de la pensée que d’avertir les hommes d’action. Ils avaien
4 rtant, c’est qu’enfin les Églises retrouvent leur rôle de direction dans tous les ordres de la pensée et de l’action. J’ai i
5 de la pensée et de l’action. J’ai insisté sur le rôle des Églises parce qu’elles sont le type même des groupes au sein desq
3 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
6 e Suisse, seraient-elles capables de jouer pareil rôle , de nos jours ? Souvent, en sortant d’un de nos cultes, je regarde le
7 n jour ou l’autre. Je ne parlerai pas non plus du rôle des laïques dans la paroisse, qui pourrait être développé encore, afi
4 1951, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Réplique à M. Lasserre (mars-avril 1951)
8 nter de me réfuter ne supprime pas le problème du rôle actuel et futur de la Suisse dans la construction de l’Europe. C’est
5 1968, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Pour une morale de la vocation (1968)
9 e celle du trop fameux Dr Tissot) qui ont joué le rôle que l’on sait dans la prédication, la cure d’âme et la littérature mo
10 trouve ici radicalisé à la limite. Mais alors le rôle de l’Église apparaît subitement précisé à l’extrême par toute cette n
11 clergé de l’Église chrétienne, je pense que leur rôle spécifique et leur vocation générale consisteront plutôt à poser des