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rellement du monde. Il y avait, selon Dürrer, 149
rôles
parlants, et la représentation demanda « deux jours pleins ». Ce n’es
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Frère Claus y est mise en valeur, tandis que son
rôle
politique n’est même pas mentionné. (Cela gênait l’Église, remarque D
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usse, une vie mauvaise, antihumaine. C’eût été le
rôle
des hommes de la pensée que d’avertir les hommes d’action. Ils avaien
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rtant, c’est qu’enfin les Églises retrouvent leur
rôle
de direction dans tous les ordres de la pensée et de l’action. J’ai i
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de la pensée et de l’action. J’ai insisté sur le
rôle
des Églises parce qu’elles sont le type même des groupes au sein desq
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e Suisse, seraient-elles capables de jouer pareil
rôle
, de nos jours ? Souvent, en sortant d’un de nos cultes, je regarde le
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n jour ou l’autre. Je ne parlerai pas non plus du
rôle
des laïques dans la paroisse, qui pourrait être développé encore, afi
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nter de me réfuter ne supprime pas le problème du
rôle
actuel et futur de la Suisse dans la construction de l’Europe. C’est
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e celle du trop fameux Dr Tissot) qui ont joué le
rôle
que l’on sait dans la prédication, la cure d’âme et la littérature mo
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trouve ici radicalisé à la limite. Mais alors le
rôle
de l’Église apparaît subitement précisé à l’extrême par toute cette n
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clergé de l’Église chrétienne, je pense que leur
rôle
spécifique et leur vocation générale consisteront plutôt à poser des