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vie quotidienne. Cette Liberté idéale réduite au
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d’huile dans les rouages, n’est-ce pas charmant et prometteur ? Et qu
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ieu privilégié pour l’étude du cœur humain. Si le
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de l’art est d’affiner nos âmes au contact de réalités plus pures que
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ux respectables ladies, qui ne jouent pas d’autre
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dans l’histoire, sont ridicules et conventionnelles à souhait (ni plu
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bérale prétendit conserver, fut bientôt réduit au
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d’une censure tatillonne et qui flattait curieusement certaine notion
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s que nous nous posons la question de l’homme, du
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de l’homme, du destin de l’homme en face du destin du siècle, tout se
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z peu. Vous jouez, vis-à-vis de ces divinités, le
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d’incroyants, de sceptiques ou même d’adversaires. Mais il y a d’autr
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es, dans la mesure où nous démissionnons de notre
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d’hommes responsables et créateurs. Leur rigueur mesure exactement no
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La classe, la race, jouent dans le monde le même
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que l’instinct dans l’homme. La culture du xixe siècle a voulu les i
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le choix peut avoir lieu, effectivement. Et votre
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d’étudiants, c’est-à-dire d’intellectuels, m’apparaît alors dans tout
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puisqu’il possède une dignité indépendante de son
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social. Comment le baptiser ? Il faut un mot nouveau. Ou plutôt, on v
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s grecs avaient adopté le terme latin de persona (
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social). C’est ce même terme qui servira aux premiers philosophes chr
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qui peut aujourd’hui proposer cette réponse ? Le
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d’Hitler est de détruire. Il détruit les contradictions intolérables
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une table rase couverte de ruines pulvérisées. Le
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de Churchill est de faire la guerre. Mais il ne pourra pas la gagner
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pe. Or il dit qu’il n’en a pas le temps… Quant au
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de Staline, il paraît être de profiter de la guerre des autres pour c
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s décisions métaphysiques et religieuses quant au
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de l’homme sur la Terre et quant à ses options de base : la puissance