1 ondialiste et les réalités nationalistes, mais on sacrifie en passant notre tâche créatrice dans l’histoire, qui est l’union néc

2 ue nos ci-devant grandes puissances refusaient de sacrifier sur l’autel de l’Europe. Que l’idée nationale soit forte encore, il s

3 sauver le concret de nos vies nationales, et n’en sacrifierait que l’illusoire, j’entends ce qui est déjà perdu de toute façon et qu

4 de la Russie, à sa puissance et à sa vérité : se sacrifier pour ceux qui, en Europe, sont opprimés et abandonnés au nom des prét

5 en deux camps : d’une part, ceux qui sont prêts à sacrifier la culture générale aux exigences techniques et qui se nomment les pr

6 tés et de la culture générale. L’URSS a décidé de sacrifier la culture générale, et elle a produit les Spoutniks. Je crains pour