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escence avide de servir une grande cause et de se
sacrifier
pour le bonheur collectif. Chanson de Roland, fair-play, Baden-Powell
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r que de donner sa vie pour ceux qu’il aime. » Se
sacrifier
pour l’autre aimé, c’est d’abord sacrifier son moi à son vrai moi, —
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. » Se sacrifier pour l’autre aimé, c’est d’abord
sacrifier
son moi à son vrai moi, — l’ordonner à sa vocation. Ou c’est encore s
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i, — l’ordonner à sa vocation. Ou c’est encore se
sacrifier
tel que l’on est, à soi-même tel qu’on va le devenir par l’esprit. C’
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ce qu’il aime peut-il haïr vraiment ce qu’il lui
sacrifie
? Le masochisme n’est-il pas le moment de retombement de l’âme frustr