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t toujours « au-dehors ». Aucun, ajoutait-il, n’a
sacrifié
, que l’on sache, une portion de son territoire, pour donner au reste
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le que la Suisse soit l’un des rares pays qui ait
sacrifié
des avantages territoriaux non point à la régularité de sa forme, mai
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es tâches précises et réalisables, et de ne point
sacrifier
le principe vital de la neutralité, même à des entreprises dont la pa
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es Suisses, que l’heure n’est pas encore venue de
sacrifier
la raison d’être de leur État, au profit d’une Ligue plus vaste qui,
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jointe, adoptant sa propre formule qu’elle pourra
sacrifier
sans danger son statut d’exception exemplaire. En renonçant aujourd’h