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parence. Mais ce n’est pas à une routine que l’on
sacrifie
, à une morale, à je ne sais quel profit : c’est à une parade incontes
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de la raison et des impulsions de « la Vie », ils
sacrifient
les premières aux secondes, ce qui revient en fait à biffer simplemen
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du jeune guerrier à quoi certains de nos voisins
sacrifient
davantage que leur vie : leur dignité de personnes — et celle des aut
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cours avec zèle et j’ai brillé au séminaire. J’ai
sacrifié
un demi-sou à la criante misère du peuple et je n’ai pas manqué le se
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nt-ils ce que serait le régime pour lequel ils se
sacrifiaient
? Seuls leurs descendants le sauront. Et encore, d’un savoir bien rel
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France aime tant la paix qu’elle n’a pas hésité à
sacrifier
sur son autel un peuple ami. (Il entendait : son peuple tchèque.) His
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-Ex que dans mon pays, nous tenons pour normal de
sacrifier
ce qu’il appelle la substance à ce que j’appelle la raison de vivre.
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— la vie à faire. Sommes-nous donc une génération
sacrifiée
, qui aura perdu ses belles années à s’arc-bouter contre des forces br