1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
1 parence. Mais ce n’est pas à une routine que l’on sacrifie , à une morale, à je ne sais quel profit : c’est à une parade incontes
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
2 de la raison et des impulsions de « la Vie », ils sacrifient les premières aux secondes, ce qui revient en fait à biffer simplemen
3 du jeune guerrier à quoi certains de nos voisins sacrifient davantage que leur vie : leur dignité de personnes — et celle des aut
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
4 cours avec zèle et j’ai brillé au séminaire. J’ai sacrifié un demi-sou à la criante misère du peuple et je n’ai pas manqué le se
5 nt-ils ce que serait le régime pour lequel ils se sacrifiaient  ? Seuls leurs descendants le sauront. Et encore, d’un savoir bien rel
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’attente
6 France aime tant la paix qu’elle n’a pas hésité à sacrifier sur son autel un peuple ami. (Il entendait : son peuple tchèque.) His
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
7 -Ex que dans mon pays, nous tenons pour normal de sacrifier ce qu’il appelle la substance à ce que j’appelle la raison de vivre.
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
8 — la vie à faire. Sommes-nous donc une génération sacrifiée , qui aura perdu ses belles années à s’arc-bouter contre des forces br