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inancer par elle, sous prétexte de sauvegarder sa
sacro-sainte
et fictive « souveraineté » par rapport aux voisins européens. Certes
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accepter de remettre en question radicalement le
sacro-saint
État-nation, accepter l’idée de renoncer éventuellement à cette formu
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e formule périmée, en faire autant avec la notion
sacro-sainte
de souveraineté ; et c’est ensuite trouver les éléments nouveaux avec
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neté nationale absolue et illimitée, c’est-à-dire
sacro-sainte
, matérialisé par les frontières. Or il est clair pour quiconque, aujo
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me de la croissance industrielle n’est pas devenu
sacro-saint
dans la mesure même où il participait de la finalité guerrière de nos
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ologiques-civiques, au prix de l’abandon de leurs
sacro-saintes
souverainetés nationales, on ne voit pas comment le tiers-monde perdr