1 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
1 tives d’un tableau de maître italien. La somme de saint Thomas sous le bras, mon chrétien arpentait les portiques d’une de ces ville
2 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). De la propriété capitaliste à la propriété humaine et Manifeste au service du personnalisme, par Emmanuel Mounier (février 1937)
2 ns l’Église que pour servir le pauvre ». Et selon saint Thomas , « n’importe qui peut donner l’aumône au nécessiteux avec l’argent d’
3 1939, L’Amour et l’Occident. Livre II. Les origines religieuses du mythe
3 de la superstition, fille de l’inconstance ». Et saint Thomas eut beau, cent ans plus tard, écrire de la manière la plus précise :
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre II. Les origines religieuses du mythe
4 de la superstition, fille de l’inconstance ». Et saint Thomas eut beau, cent ans plus tard, écrire de la manière la plus précise :
5 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre II. Les origines religieuses du mythe
5 de la superstition, fille de l’inconstance ». Et saint Thomas eut beau, cent ans plus tard, écrire de la manière la plus précise :
6 1946, Articles divers (1946-1948). Théologie et littérature (1946)
6 l’objet de travaux fameux : ainsi l’influence de saint Thomas sur Dante, de Calvin sur d’Aubigné, du jansénisme sur Pascal et Racin
7 1956, Articles divers (1951-1956). Réponse à l’enquête « Pour une bibliothèque idéale » (1956)
7 que la Bible, le Coran, les Vedas ; ou Aristote, saint Thomas , Calvin, Marx, ou Descartes, Einstein, etc. Mais on ne peut les place
8 1956, Articles divers (1951-1956). Tableau du phénomène courtois (janvier 1956)
8 de la superstition, fille de l’inconstance ». Et saint Thomas , au siècle suivant, eut beau écrire de la manière la plus précise : «
9 1961, Articles divers (1957-1962). Le Temps de la louange (été 1961)
9 l récusait toutes les constructions dogmatiques — saint Thomas , Calvin ou Karl Barth — comme étant affectées à la base d’un « littér
10 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Septième Partie. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
10 plus, qu’hors d’un « retour » à la philosophie de saint Thomas ou à la chrétienté de Grégoire le Grand, il n’y aura plus d’Europe vi
11 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 7. Théologie et littérature
11 l’objet de travaux fameux : ainsi l’influence de saint Thomas sur Dante, de Calvin sur d’Aubigné, du jansénisme sur Pascal et Racin
12 1971, Articles divers (1970-1973). L’héritage culturel de l’Europe (1971)
12 Nul besoin d’avoir lu Homère, Platon, Virgile et saint Thomas , Hölderlin et Rousseau, Marx et Proudhon, Sigmund Freud et les surréa
13 1977, Articles divers (1974-1977). Écologie, régionalisme, fédéralisme : l’avenir selon Denis de Rougemont (30 décembre 1977)
13 ne résorbera ni le chômage ni l’inflation. C’est saint Thomas qui disait que « le fini n’est pas capable d’infini ». N’en est-il pa
14 1980, Tapuscrits divers (1980-1985). [Entretien] Si nous continuons dans le même sens, nous allons vers un désastre général (5 juin 1980)
14 onsable de ses créations. Je citais une phrase de saint Thomas  : « L’homme possède par nature la raison et une main » et une autre p
15 1988, Inédits (extraits de cours). La personne
15 nes, de grands intellectuels du Moyen Âge jusqu’à saint Thomas , qui ont fait la théorie de la personne humaine — c’est de là qu’on r