1 rand-mère Waldburg au plafond à caissons du grand salon  : « Une mésalliance ! » Il est vrai que les princes, burgraves et com

2 un hall périlleux, pressés, poliment bousculés de salon en salon ; et, plus loin que la rumeur des voix, orchestre du grand m

3 érilleux, pressés, poliment bousculés de salon en salon  ; et, plus loin que la rumeur des voix, orchestre du grand monde qui

4 é des collections de vieux Venise, jusqu’au petit salon où il y a deux Bellini. Et que dire des portraits, des valets immobil

5 rs à l’aventure. Bientôt je parviens à un immense salon où beaucoup de gens debout, silencieux, regardent quelque chose qui s

6 , veulent rentrer, car elles sont sages. Dans les salons désertés du rez-de-chaussée, elles me désignent un des rêves de mon a

7 Lune avance comme un chat sur le lit conjugal, un salon glacé dont le parquet craque sans que nul pied jamais ne s’y pose, et

8 er. Seul vestige des splendeurs bourgeoises de ce salon  : un lustre formé d’une écaille de tortue polie, agrémenté de porte-b

9 Une salamandre, n’est-ce pas, c’est un meuble de salon , il faut la décorer convenablement et surtout éviter que cela ressemb

10 heures au ralenti, à travers les hublots du petit salon où siégeaient ces messieurs d’Ellis Island. Ils palpent nos passeport

11 é, ni l’antichambre d’une maison d’édition, ni un salon — rien de tout cela n’existe en Amérique — mais une party. Et cette p

12 Club. En suivant le groupe qui se dirige vers les salons , je reprends : — Kierkegaard a dit cela toute sa vie : si vous voulez

13 parterre de jeunes déesses américaines, danse aux salons et farandoles sur les ponts, et tout le monde saute dans la piscine i

14 s de peaux de vache noire et blanche, et dont les salons cuir et bois sont fleuris de branchages mauves largement évasés devan

15 yant proposé que je donne une conférence dans les salons du club, le président juge prudent d’y renoncer, un tiers des membres

16 ige immense et lente. Allons chez des Américains. Salon des J…, musique dans la pénombre. Je reconnais quelques jeunes romanc

17 re, en général, quand on se trouve à huit dans un salon . Rentré tôt, mais n’ai rien fait qui vaille de toute la nuit. Voilà q

18 le, je ne mets jamais les pieds dans ce dégoûtant salon  ! » Des éclairs illuminent longuement les meubles lourds, une bibliot

19 he ! » Au Waldorf, on nous a répartis dans quatre salons communicants. J’écoute le speech du Général à quelques mètres derrièr

20 emplaire de Cooper trouvé dans la bibliothèque du salon , une petite carte de visite jaunie porte le nom d’un révérend qui fut