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ude la plus dénuée, et là découvre que la voie du
salut
est de refuser le monde, le corps et la souffrance, pour s’élever ver
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ournant le dos au « monde » décide d’atteindre le
salut
par tout son moi, mais par son moi seul, détaché, progressivement ill
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trait, sans relation directe ou immédiate avec le
salut
de la personne, le bonheur, la sagesse, la saveur de la vie, et le se
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ue est d’inverser l’œuvre de Pierre le Grand : le
salut
de l’Europe sera russe. Pour Kirievsky et ses amis, la notion d’hégém
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trait, sans relation directe ou immédiate avec le
salut
de la personne, le bonheur, la sagesse, la saveur de la vie, et le se
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re le sort du monde ? Notre sort personnel, notre
salut
, le sens de notre vie individuelle, n’est-il pas beaucoup plus import
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trait, sans relation directe ou immédiate avec le
salut
de la personne, le bonheur, la sagesse, la saveur de la vie, et le se
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re le sort du monde ? Notre sort personnel, notre
salut
, le sens de notre vie individuelle, n’est-il pas beaucoup plus import
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nce classique de la chaire, quand elle parle du «
salut
des âmes », ou « d’immortalité de l’âme ». Je prends le mot au sens p
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de l’époque, et diriger les hommes à leur fin de
salut
. Il n’a écrit que pour mieux faire comprendre l’Écriture, parlé que p
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it de « presser » l’auditoire, de l’instruire « à
salut
», de le bien « conforter » dans l’amour paternel d’un Dieu-roi formi