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ent assez de violence pour nous déchirer jusqu’au
salut
, et dont la composante réelle tend vers zéro, c’est d’une philosophie
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itera la phrase de la Saison : « Pas de partis de
salut
violents. » Dès les premiers instants de son accession au monde spiri
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es. « Bon esprit, prends garde ! Pas de partis de
salut
violents. Exerce-toi ». Objurgation que l’on croirait tirée de quelqu
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on, si elle la comble par ailleurs. Ce critère du
salut
, cette transcendance, en bonne dialectique autoriserait à des jugemen
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? Va prendre parti, et agir ?… — Paralysie. — Le
salut
qu’on lui offre, il faudrait qu’elle le paie du prix de l’âme même. O
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uver le monde » ? Rien. Au sens fort du mot, le «
salut
» n’est pas à débattre sur le plan de l’humanité, mais entre l’homme,
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a formule fédéraliste. — Inutile d’ajouter que le
salut
temporel de l’Europe dépend de sa faculté d’opérer de telles distinct
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rtains maîtres-mots : esprit, nation, révolution,
salut
…) Et, comme pour protéger ces conventions précaires, on les rend auss
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données concrètes du christianisme : le péché, le
salut
, le drame de la révolte et de l’amour. Mais elle spécule volontiers s
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’éthique, non le religieux ; la justice et non le
salut
; ce que l’on vit et comment on juge, non la connaissance pure, ni le
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juger au nom des normes établies. Mais la foi, le
salut
personnel n’ont rien à voir avec la bienséance, et ne sont pas de l’o
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est usurper la place du Juge, ou mêler vanités et
salut
. Si Gide a refusé totalement quelque chose, c’est justement le totali
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ramatique des Prophètes s’ouvre alors le temps du
salut
: temps de l’attente active, de l’espérance patiente et de la foi dan
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enlisement dans la forme du monde, sans espoir de
salut
individuel58 — je pressens qu’ils trahissent un dépit amoureux au moi
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essité, que le succès temporel prenne la place du
salut
et qu’il tienne lieu de but suprême. Succès individuel ou collectif d
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tin, l’œcuménique du iie siècle, ose parler d’un
salut
de la Matière. À force de l’étreindre de ses mains, de la mesurer par
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e », écrit Henri Michaux. « Son bonjour : “Que le
salut
soit sur quiconque suit la vraie religion.” (La vraie ! Aux autres, p