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re cette maxime de la Saison : « Pas de partis de
salut
violents ». Dès les premiers instants de son accession au monde spiri
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es. « Mon esprit, prends garde ! Pas de partis de
salut
violents. Exerce-toi. » Objurgation que l’on croirait tirée de quelqu
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on, si elle la comble par ailleurs. Ce critère du
salut
, cette transcendance, en bonne dialectique autoriserait à des jugemen
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, et c’est là leur action, leur prophétie et leur
salut
. Cependant que les hommes les frappent sur la bouche. Kierkegaard fut
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le pouvoir qu’aurait l’homme de contribuer à son
salut
par ses efforts et ses œuvres morales. Que trouveront-ils dès lors da
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toi ? Il est une double prédestination : l’une au
salut
, l’autre à la damnation. Être damné, ne serait-ce pas justement être
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Érasme n’y changeront rien : « Travaillez à votre
salut
avec crainte et tremblement, puisque c’est Dieu qui produit en vous l
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« un faible libre arbitre66 » dans les choses du
salut
. Mais que le Christ ait dû mourir pour nous sauver — et la mort est u
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es où voulait se complaire Érasme. Le problème du
salut
est un problème de vie ou de mort. Or ce problème est seul en cause p
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eulement qu’elle puisse suffire à nous obtenir le
salut
, étant elle-même soumise au mal. Tout le reste est psychologie, litté
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rtains maîtres-mots : esprit, nation, révolution,
salut
…) Et, comme pour protéger ces conventions précaires, on les rend auss
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’est en confessant de la bouche qu’on parvient au
salut
», dit saint Paul. IVRépercussions collectives du romantisme antip