1 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
1 é, ce serait une erreur insondable que de voir le salut de notre époque dans un retour à l’individu. L’individu est l’origine
2 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite, (Fondements théologiques d’une action politique)
2 ourra, pour nous, se confondre avec un progrès du salut . Principe d’une politique du pessimisme actif. Une phrase de Kierkeg
3 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
3 à lui-même un monde qui ne saurait nous offrir de salut , puisqu’il n’est de salut qu’en la foi, qui transcende le monde. Prin
4 saurait nous offrir de salut, puisqu’il n’est de salut qu’en la foi, qui transcende le monde. Principe de l’individualisme a
5 ue chose, notre activité, ne vaut rien pour notre salut . Elle se souvient que nous devons travailler à établir le Royaume sur
6 rait nous certifier, dans le fond de nos âmes, un salut qui se joue des ultimes efforts et des ultimes défaites de notre volo
7 rines, révolutions qui prétendraient fonder notre salut sur un ordre terrestre. Mais toutes ces négations, nous les déclarero
4 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Note sur un certain humour
8 a grâce de son Sauveur, un homme qui sait que son salut ne dépend pas du monde, comment voulez-vous qu’il adopte ces allures
9 omme pour qui tout est accompli : le péché, et le salut en Christ. Voilà sa liberté : sa mort est derrière lui. Le problème a
10 qu’à la gauche » son sort terrestre. C’est que le salut , pour lui, est lié au succès de son effort. Pas d’ironie possible vis
11 c’est de manquer cet acte par lequel je saisis le salut qui m’est promis22, salut gagé sur le fait historique de la mort et d
12 par lequel je saisis le salut qui m’est promis22, salut gagé sur le fait historique de la mort et de la résurrection de Jésus
5 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
13 étien, mais ne se confond pas avec l’enjeu de son salut . Tel est le paradoxe, qui remonte au cœur même du christianisme, si l
6 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Humanisme et christianisme
14 , économique, éthique — fondée sur la croyance au salut de l’homme par les seules forces humaines. Croyance qui s’oppose rigo
15 anisme, si celui-ci est avant tout la croyance au salut de l’homme par la seule force de Dieu, — par la foi. Dans les deux ca
16 Dans les deux cas, marquons-le bien, il s’agit de salut . Certains humanistes le nieront. Ils me diront que, là où le chrétien
17 nt. Ils me diront que, là où le chrétien parle de salut , eux se bornent à revendiquer le bonheur des hommes, la justice. Reco
18 adicalement ? C’est en ceci que, pour les uns, le salut est transcendant à l’humanité, pour les autres, immanent. Les humani
7 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
19  ? Va prendre parti, et agir ?… — Paralysie. — Le salut qu’on lui offre il faudrait qu’elle le paie du prix de l’âme même. On
20 sauver le monde » ? Rien. Au sens fort du mot, le salut n’est pas à débattre sur le plan de l’humanité, mais entre l’homme, e
8 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Liberté ou chômage ?
21 ine efficacité ceux pour lesquels il n’est pas de salut hors de cette réalité perpétuellement réparatrice et proprement humai