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grecque. L’Europe ferait partie de l’économie du
salut
, serait donc un concept acceptable aux yeux des Pères. Et le mythe de
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es célébrant l’Orient comme le lieu d’où vient le
salut
. Ainsi Matthieu 24, 27 : Comme l’éclair part de l’Orient et se montr
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Europe trouve enfin sa place dans « l’économie du
salut
», et c’est à ses saints qu’elle le doit. Sulpice Sévère est en effet
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repaît toute seule et, ruminant mal la pâture du
salut
, délaisse la crèche. Dans les autres régions d’Europe, le Christ est
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ienté devra se transporter dans cette Amérique du
salut
découverte grâce au « roi universel », Ferdinand le Catholique. 77.
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ines, je préfère néanmoins la gloire de Dieu, mon
salut
et la subsistance de la vraie religion que je professe, au roi mon ma
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Mais il faut qu’on institue plusieurs gardiens du
salut
des hommes ; c’est le Christ, la sagesse étemelle, qui nous y invite
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ctivité, les provinces asservies attendaient leur
salut
de troupes mercenaires et de gouvernemens dirigés par les ordres d’un
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courage et de force pour trouver enfin la voie du
salut
ou, du moins, une limite au mal. Edmund Burke (1729-1797) que l’on a
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nir, car il ne peut imaginer pour elle qu’un seul
salut
: le retour de tous les peuples à Rome, et leur subordination sans co
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lui aussi dans une renaissance religieuse le seul
salut
de la « Société européenne ». Mais loin d’exiger comme condition préa
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lling en viendra, lui aussi, à n’attendre d’autre
salut
pour l’Europe que de la libre coopération de l’État et de l’Église, s
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ière. Résigne-toi à ton immensité. Adieu Peuple !
Salut
Homme ! Subis ton élargissement fatal et sublime, ô ma patrie, et, de
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ra pour ses frais… La fédération devient ainsi le
salut
du peuple : car elle le sauve à la fois, en le divisant, de la tyrann
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ique et l’Europe : alors l’Européen cherchera son
salut
dans la fuite aux États-Unis. À droite : le marquis de Custine, dans
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ue est d’inverser l’œuvre de Pierre le Grand : le
salut
de l’Europe sera russe. Pour Kireievsky et ses amis, la notion d’hégé
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ntestée par le Monde et tendant à s’unir pour son
salut
cherche d’abord à remonter aux sources d’où dérivent ses valeurs cons
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hes qui aient jamais menacé un continent. Le seul
salut
réside dans la Paneurope, dans le rassemblement de tous les États dém
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es gouvernements qui travaillent à cette œuvre de
salut
public, suprême chance de la paix et gage d’un grand avenir, pour cet