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its peuples in extremis est notre seule chance de
salut
. On se demande en vain ce qu’il peut y avoir de « généreux » dans une
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tribuer à l’union de nos pays, qui sera leur seul
salut
, par le moyen d’une renaissance de leur culture dans la liberté de l’
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américain ». Le temps que l’on perd ainsi pour le
salut
de l’Europe, d’autres le gagnent pour sa ruine. Nécessité de révei
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t-il à l’Europe pour se sauver, pour rejoindre un
salut
tout proche et comme à portée de la main ? Il ne lui manque peut-être
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ncrète et raisonnable en faveur de l’union, notre
salut
prochain. C’est ainsi, j’imagine, que l’on voyait les choses, dans le
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modèle. Mais nous avons pensé que le devoir et le
salut
des Européens consistait aujourd’hui à édifier des modèles nouveaux d
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ique des faibles sommes qui devaient assurer leur
salut
. L’assaut fut décidé après des mois d’attente, Byzance fut mise à sac