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ne vocation. Le triomphe d’une parole mortelle et
salutaire
sur un individu puissamment naturel, c’est l’acte autorisant la doctr
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pe comme une maladie. Cet homme secrète un poison
salutaire
, dont nul ne trouvera l’antidote ; qu’il en soit mort, atteste ce fai
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n’être pas né, avant que j’eusse reconnu combien
salutaire
était ce désespoir et combien proche de la grâce ». Car en effet : «