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en des écrits dépourvus de puissance, un goût du
sang
qui les marque à nos yeux de décadentisme bourgeois. Nous ne prenons
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te dans la mesure où elle est mal préparée. 2° le
sang
répandu par la Révolution est la marque de son imperfection naturelle
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n est la marque de son imperfection naturelle. Le
sang
! Et tous les « Mirobolants » de la terre pâlissent derrière leur mâc
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ux) si c’est de volupté ou de terreur. La peur du
sang
, le goût du sang : ce sont là deux aspects morbides d’une même maladi
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olupté ou de terreur. La peur du sang, le goût du
sang
: ce sont là deux aspects morbides d’une même maladie bourgeoise. C’e
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ocrisie régnante. Non, la Révolution n’est pas le
sang
versé. Mais nous disons qu’il est plus sain d’être blessé que lenteme